 total: 26470 m de dénivelée, 15 courses
sorties ski-alpinisme avec l'ASUPS (anciennes courses)
très bon skieur (+Alpiniste), skieur-alpiniste confirmé
Sortie du samedi 08 février 1997, 2 jours pedros et carlit, couloirs O
Un week end orienté vers les couloirs. A force de venir faire des traversées, des sorties débutants et des tentatives de raid dans le coin, il y a des couloirs qui attirent l'œil, même si on en parle peu dans les couloirs de l'UPS. Et on finit par se persuader de venir spécialement pour eux, pas comme ceux qu'on regarde une fois, comme ça au cours d'un raid, mais qu'on ne viendra jamais parcourir.
Ces deux là, quand on va à la Coume d'Or, on ne voit qu'eux. Il y a celui du Pedros devant lequel on débouche en arrivant à la portella de la coma d'en garcie. Cette face du Pedros n'est que couloirs, certes, mais le central semble toujours valoir la peine. Les autres paraissent un peu étroits, et finissent pour la plupart par des passages plutôt rocheux. Et il y a celui du Carlit. Le Carlit! En arrivant au sommet de la Coume d'Or, il occupe quasiment tout le paysage. Son couloir O est sur le parcours de la trace catalane, qui l'emprunte à la montée.
A un moment où l'enneigement nous paraissait favorable, nous sommes donc partis pour le col du puymorens. Arrivés à la portella de la coma d'en garcie, nous laissons la voie normale de la Coume d'Or, pour descendre au pied du Pedros. Tout ce versant est encore à l'ombre, et la neige est cartonnée, irrégulière, soufflée par le vent pour former des barcanes. Plutôt désagréable tout ça.
Au pied du couloir, nous vidons les sacs de tout superflu (matériel de bivouac pour ce soir) que nous laissons dans des sacs poubelle entre quelques rochers. Il ne reste plus qu'à arriver là haut, entre les deux sommets du puig Pédros (le nom varie suivant les cartes).
Nous en profitons bien sûr pour aller sur ses deux pointes sommitales. Celle située au nord est la moins élevée mais la plus facile d'accès (hasard !). L'autre demande quelques précautions et le 'pied sûr' sur un passage raide et plus ou moins englacé.
De retour au couloir pour la descente, la neige est irrégulière, non transformée, rarement agréable. Mais c'est encore le plein hiver, donc pas la saison pour descendre les couloirs. Nous n'avons que ce que nous cherchons. Malgré tout, une fois au pied, nous sommes enthousiastes, (comme toujours quand on se relâche après un moment de concentration).
Mais le week end n'est pas terminé. Il nous faut récupérer nos affaires, et repartir vers le Carlit. La journée est avancée. La neige très humide nous porte peu pour passer la portella roja, dont l'accès est bien raide à notre goût après les efforts déjà fournis. Nous l'atteignons enfin vers 17h. il faut encore descendre vers le lanoux, et le traverser pour chercher une cabane de l'autre coté. Il est suffisamment glacé pour passer dessus ce jour là (ça n'est pas une règle) heureusement car le jour baisse quand nous y arrivons. Le Lanoux traversé en 4° vitesse, nous cherchons la cabane isolée indiquée par la carte. Nous la trouvons à la nuit tombante (ouf). Elle n'a pas de porte mais une tôle ondulée que l'on appuie sur le mur pour tenter de minimiser les courants d'air. L'atmosphère y est humide, et un pilier au centre de l'unique pièce réduit l'espace disponible. Il y a à peine la place pour nous deux. Nous passons une nuit glaciale dans le courant d'air de la porte.
Le lendemain, nouveau lever à 6h pour repartir pour le Carlit. Le doute le plus épais plane. On ne va jamais y arriver, autant rester couchés. Et puis nous partons tout de même, on verra bien jusqu'où nous irons. Au cours de la montée, les doutes reviennent toujours. Le puig Castel Isard nous tente. Il semble tellement moins haut que le Carlit. Et finalement comme d'habitude, on finit par y arriver. Il y a déjà du monde au sommet. Nous jouissons de la vue vers le Canigou ce qui nous donne d'ailleurs la confirmation que c'est bien lui qu'on voit depuis le Montmalus en Andorre, ou depuis la Coume d'Or. Un doute de plus est levé. Nous en profitons aussi pour essayer de voir l'itinéraire de retour au col de Puymorens, car nous voulons évidemment éviter de repasser par le vallon d'en garcie (bonjour les remontées). Vu d'ici, la piste du cortal rousso (que nous ne connaissons que sur la carte) semble enneigée, on tentera le coup.
Le couloir du Carlit est particulier: il n'est pas droit mais décrit un S. au départ on a donc l'impression qu'une chute se terminerait sur ce tremplin donnant on ne sait sur quoi, au lieu de prendre la courbe à droite.
Après le couloir, le reste de la descente est une aimable balade entre les rares pins, jusqu'à la cabane. Après une pause casse croûte et partage d'impressions, nous récupérons nos affaires, et direction la portella de Lanos. Cette dernière montée est interminable. A nouveau nous y arrivons vers 17h. nouvelle balade agréable dans ce vallon de cortal rousso que nous découvrons. La piste qui suit s'avèrera effectivement enneigée jusqu'au col de puymorens: soulagement malgré quelques nécessaires poussées sur les bâtons.
Au total une sortie tout de même assez physique surtout par sa longueur. Sachez avec qui vous partez la faire.
Et si vous cherchez quelqu'un, je vous recommande Gilles... qui a beaucoup progressé depuis. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Col de Puymorens (1904m), Pyrénées Orientales |
les montées : | 1700 m |
les efforts : | 18 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Cerdagne/Capcir
TOP25 2249 OT Bourg-Madame |
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Sortie du dimanche 21 avril 1996, 4 jours Vignemale - Ardiden
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le parking du pont d'Espagne (1496m) en suivant le télésiège, Hautes Pyrénées |
les montées : | 3100 m |
les efforts : | 28 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Bigorre
TOP25 1648 ET Vignemale |
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Sortie du jeudi 15 février 1996, 4 jours tour des Encantats
Dans ce raid, tous les participants étaient moniteurs à l'ASUPS sauf un.
Ce fut un séjour à la montagne plutôt venté. Nous étions partis de la station de ski de baqueira, et en route vers le port de ratera, en commençant par une longue longue vallée plate (avec les chaussures de ski de randonnée, le plat est très générateur d'ampoules sous le tendon d'Achille). Il y avait déjà du vent.
une fois le port passé, nous sommes descendus au pied des deux encantats (nom donné à deux aiguilles calcaires situées dans le parc) pour coucher au refuge Ernest Malafre.
Le lendemain, départ vers le pic de mar. le vent avait nettement forci.
Nous avons passé le col entre le pic de mar et le pic de peguere en remontant la pente en chasse neige, poussés par le vent qui profitait de l'effet venturi au niveau du col. Ceux qui ont déjà passé un col contre le vent, en rampant, et en traînant les skis derrière eux savent de quoi il s'agit (notamment avec la tramontane sur les PO).
zigzaguant entre les plaques à vent, voire même dessus dans la tempête, en ne voyant que vaguement le skieur précédent, nous sommes arrivés au refuge de colomina en suivant largement les courbes de niveau (bonjour le détour). ce refuge, situé en quelque sorte à l'extrémité skiable sud des encantats, est très accueillant et confortable, une fois qu'on a réussi à déneiger la porte.
A l'étape suivante, le vent était nettement plus clément, soulevant beaucoup moins de nuées de neige. Le ciel était bleu. Trop confiants dans une orientation rapidement faite avant la traversée de l'estany tort, nous nous sommes trompés de col, et nous en sommes aperçus bien plus tard, en arrivant dans le vallon d aiguadassi, avec 200m trop bas indiqués par les altis.
durant la descente nous avions été faussement rassurés en prenant l'estany de lebreta pour l'estany Llong. Il nous a donc fallu le temps de la pause déjeuner pour réaliser ce qui s'était passé.
la troisième nuit fut confortable aussi à la cabane d'aiguadassi, où nous avions eu le temps de nous installer, en y arrivant vers 15h.
La dernière journée a été une longue traversée par le col de contraix, et les pentes sud du montardo. puis nous avons suivi la piste, par chance enneigée du pont de ressec pour terminer ce raid à ARTIES par quelques agapes espagnoles |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | La station de Baqueira, dans le val d'Aran, au niveau de la barrière qui ferme la route du port de la Bonaigua l'hiver, Catalogne |
les montées : | 4500 m |
les efforts : | 26 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Couserans/Cap d Aran |
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Sortie du samedi 25 mars 1995, 2 jours Montcalm
Le Montcalm ça change un peu des habitudes aussi. Cette fois là il était prévu d'aller au mont Valier, et puis la neige étant tout de même un peu haute, il y aurait eu un peu trop de portage de skis au programme. Alors le Montcalm c'est très bien aussi, et c'est toujours l'ariège. Il représente tout de même une dénivelée conséquente de près de 2000m. il y a aussi certains passages raides mais principalement en traversée sous l'étang du Montcalm.
Ce week end là, la neige était croûtée en surface, mais en gros grains dessous, et qui manquaient un peu de cohésion. Si bien que dès que les skis avaient traversé la croûte, les peaux perdaient de l'appui, et il fallait pédaler deux fois plus pour monter jusqu'au refuge du Pinet. A ce moment là il n'y avait personne, mais il semble que le refuge soit de plus en plus régulièrement gardé l'hiver. A vous d'en tenir compte.
Le Montcalm est tout de même un classique assez régulièrement fréquenté au printemps. Vous avez alors peu de chances d'être seuls. En plein hiver, ou lors des périodes de fonte, il faut être sûr des conditions car le coin est propice à des avalanches dantesques desquelles vous ne ressortiriez qu'en morceaux (demandez à la forêt pourquoi elle est si clairsemée dans certains couloirs, et ceci vaut aussi dans des lieux plus élevés)
Au sommet de la pica d'Estat vous pourrez admirer les sommets andorrans, et espagnols des Encantats.
Maintenant si ce sont les longues descentes qui vous intéressent, vous serez servis. L'itinéraire est varié, et les couloirs d'avalanches, qui ont bien sur été gavés de neige lors des coulées (sinon vous êtes malchanceux), vous permettent d'en profiter quasiment jusqu'à la voiture. Une bonne nouvelle pour ceux qui n'aiment pas porter les skis. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le pré de l'Artigue (1180m) à proximité de l'ancien refuge de Montcalm, Ariège |
les montées : | 1970 m |
les efforts : | 12 h 00 |
les cartes : | 1:50000 haute Ariege/Andorre
TOP25 2148 OT Vicdessos |
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Sortie du samedi 16 janvier 1993, 2 jours Pic des Quatre Termes
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Le pic des quatre termes ne fait pas vraiment partie des sommets dont on parle dans les couloirs de l'AS. Peut être parce qu'il ne fait même pas 3000m, bof.
Si le massif manque donc de prestige pour les chasseurs de 3000, il propose néanmoins des randonnées très agréables sur des terrains faciles agrémentés de nombreux lacs. Ceux qui apprécient des courses un peu plus "piquantes" pourront aussi trouver leur bonheur avec des pentes plus raides, des couloirs, et le sommet des quatre termes lui-même, dont on disait, il y a seulement une ou deux décennies, qu'il s'agissait d'alpinisme hivernal.
On peut faire cette course en partant du virage en épingle à cheveux situé vers 1360m sur la route de la Mongie, ce qui augmente la dénivelée à environ 1400m.
Pour en terminer avec les accès au massif, citons aussi le départ de la station de la Mongie (en utilisant éventuellement le téléski du pain de sucre) pour atteindre par l'est le pied du col de Guilhembrume, puis l'arête est du quatre termes en passant entre une crête à droite (ouest) et des escarpements à gauche (est). Cet itinéraire présentant une dénivelée d'environ 1000m avec des passages plutôt raides.
C'est le départ de la station d'Espiaube, en utilisant les télécabines, puis le téléski de corne blanque, qui permet, à mon avis, la visite plus intéressante du massif, tout en diminuant la dénivelée.
De même au retour, on pourra utiliser le télésiège entre le lac de l'Oule et le col de Portet (solution de flemmard me direz-vous, mais j'en connais beaucoup qui ont fini par le devenir)
On peut utiliser la première journée pour une mise en jambes, après avoir laissé le matériel de couchage au refuge du Bastan (une vingtaine de place, cheminée) en montant au Portarras, puis au Pichaley, ou en en faisant le tour par le col de Bastanet, le col ouest du pic de Cettiou, et retour par le col de Bastan. Ca fait voyager un peu plus pour profiter de vos deux jours, et c'est tout de même mieux que de se précipiter au sommet "comme ça on l'a fait et on en parle plus".
Et si vous ne voulez ni mise en jambes, ni nuit en refuge, il faudra alors partir beaucoup plus tôt. Mais les remontées n'ouvrant généralement pas avant 9h00, il faudrait aussi faire cette partie "à pieds". Cela devient beaucoup plus long bien sûr (au minimum, 700m de dénivelée en plus du parking d'Espiaube au refuge de Bastan) Pour aller au sommet dans la journée, autant alors passer par le versant de la Mongie.
Il reste encore la solution de traverser la station en fin de journée. En fonction de l'heure, le téléski de corne blanque n'est pas une obligation, puisque la montée du lac de l'Oule au refuge ne représente qu'environ 200m de montée.
Le lendemain, il faut prévoir de quitter tôt le refuge, surtout si vous comptez emprunter le télésiège du lac au retour. Sans quoi, vous devrez garder les peaux un peu plus longtemps.
Du refuge de Bastan au quatre termes, on peut passer par le col de Bastanet, puis redescendre jusqu'au lac du Campana pour contourner le pic de Cloutou. Mais il est plus intéressant, et certainement plus rapide, de passer à l'ouest du pic de Bastan, vers le lac de Port-Bielh, pour aller emprunter un des couloirs de la crête de Port-Bielh. Descendre un de ces couloirs au retour agrémentera cette course bien mieux qu'un simple aller et retour par le col de Bastanet. Prendre cet itinéraire à l'aller permet d'évaluer les conditions de neige dans le couloir, et de choisir en connaissance de cause.
Une fois la crête passée, on la suit sur son versant nord jusqu'au pied du sommet. Celui ci s'atteint en rejoignant l'arête est, cette traversée du versant est pouvant être délicate si la neige est dure, et en la suivant jusqu'à son terme. C'est le parcours de cette arête, nécessitant une vingtaine de minutes, qui peut être considéré comme alpinisme hivernal (donc piolet et crampons obligatoires, plus l'art de s'en servir avec efficience… tout en gardant à l'esprit qu'il faudra aussi redescendre)
Au sommet, la vue est suffisamment dégagée pour y consacrer un moment : Arbizon, Néouvielle, pic long, pic du midi, Vignemale, et accessoirement, la station de la Mongie que l'on domine vertigineusement au nord.
Pour le retour, les couloirs de Port-Bielh sont exposés sud à sud-ouest, donc inutile de trop s'attarder…
Une fois au refuge du Bastan, il reste encore 175m de montée (passer le col 2415 au sud est du refuge) avant de retrouver les pistes d'Espiaube. Si vous êtes en retard, à vous de voir si vous pouvez encore foncer (en descente) pour tenter d'avoir le dernier télésiège, mais si vous ratez votre coup, ça fera d'autant plus à remonter !
Sinon, vous vous engagez dans une longue traversée à flanc, en poussant un peu sur les bâtons pour atteindre le col de Portet, et finir la descente par les pistes jusqu'au parking. Il m'est arrivé de faire cette dernière descente de nuit un mois de janvier (les journées y sont courtes), dans la forêt, à la lueur de la frontale : on avance alors beaucoup moins vite… et le retour paraît interminable, à éviter donc.
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Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le haut du téléski de corne blanque, dans la station de Saint-Lary Espiaube, ou bien le virage en épingle à cheveux vers vers 1360m sur la route de la Mongie (mais la dénivelée passe alors à 1400m), ou encore la station de la Mongie (dénivelée 1000m) |
les montées : | 844 m |
les efforts : | 7 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Bigorre
TOP25 1748 ET Neouvielle |
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vous trouverez toujours un moniteur pour d'autres sorties, tous les jeudi soir à partir de 19h30 en saison
le local est dans le couloir, sous les amphis Curie et Langevin à l'UPS
Le ski-alpinisme s'adresse à des skieurs ayant une très bonne connaissance du milieu montagnard. A défaut, l'improvisation vous met en danger.La lecture de ces pages ne vous dispense pas d'être encadré par une personne formée et expérimentée, capable de choisir la course convenant au niveau des participants, et d'adapter l'itinéraire sur le terrain pour en éviter les dangers inapparents pour vous ou pour les autres
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voir le texte de la fédé
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blablabla mais m'évite des poursuites judiciaires pour une erreur de jugement sur place, ou une fôte d'orthogaffe
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randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: D.Monniot
Date: jeudi 26 mars 2009 à 11h52 pouvez- vous me donner des idées de rando à ski , deniv 1000 a1500m à partir d' estany long ; j' y serai 2 jours mi-avril
merci
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d.monniot
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Re: randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: hervé
Date: vendredi 27 mars 2009 à 17h26
Dans les Encantats donc?
Le pic de Subenulls est un peu le must du coin, mais la fin est raide. Après tu as le pic de Contraix ou le tuc de Colomers, mais pas de sommet skis aux pieds. il faut être à l'aise en grosses dans le mixte. Et puis il y a le tuc de Ratera accessible à skis, mais de ce refuge, ça commence à faire loin...
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: francois
Date: jeudi 19 mars 2009 à 13h59 Bonjour je fais beaucoup d'activité en montagne comme la randonnée ou le ski de rando et un peux d'escalade .
Je m'occupe de l'entretien des refuges et cabanes dans les PO.
Je cherche quelqu'un pour me faire découvrir l'alpinisme.
j'habite dans l'Aude et je vais plutôt dans les PO et
L ARIÈGE .
Je laisse mon MAIL si cela intéresse quelqu'un j'ai 29 ans et je suis en bonne condition physique .
fran********guariguenc@wanadoo.fr
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FRANCOIS
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Auteur: Benjamin
Date: jeudi 12 février 2009 à 09h07 Bonjour,
Je suis dijonnais et je serai à Ax Les Termes la semaine prochaine.
Je voudrais faire découvrir cette activité de ski-alpinisme à qqs copains, si les conditions le permettent bien sur!
Que me conseillerez-vous comme sortie dans les +1000 dans ce coin là? Et y a t-il des spécificités au niveau sécurité dans les Pyrénées?
Merci d'avance
:)
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Auteur: hervé
Date: samedi 21 février 2009 à 01h04
j'étais en vacances la semaine dernière (je passe pas mon temps devant l'ordinateur, c'est juste un outil pour organiser mes propres sorties)
à brule pourpoint il me vient les pics de font nègre à proximité de l'Andorre, le pic de coume d'or, le pic dels pedrons et le pic de la mine.
quand on ne veut pas s'éloigner d'Ax, les sommets sont moins pour débutants.
spécificités ? la neige reste la neige, mais dans les pyrénées elle transforme en général assez vite, sous l'influence des vents d'ouest.
bon séjour
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: herve
Date: dimanche 25 novembre 2007 à 22h35 Comme chaque saison, je propose à ceux qui ont des dispos en semaine d en profiter à la neige (sauvage)
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...il faut la rendre plus intense
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Auteur: hervé
Date: dimanche 05 février 2006 à 20h10 on revient d'une sortie débutants au montségu:
l'itinéraire de la vallée blanche était balisé, damé, et interdit aux randonneurs.
maintenant pour être tranquille il ne reste qu'à y aller en tout début de saison, avant que la station n'ouvre.
sinon neige poudreuse sur les versants nord, belle descente
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quand on ne peut rallonger la vie...
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