total: 10822 m de dénivelée, 8 courses


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Sortie du samedi 14 février 2004, 2 jours
Tuc de Mulieres

 
la face est du Mulieres
640 x 480
le mulieres et le tuc de horo
640 x 480
au sommet du mulieres
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au sud, dans la brume, la sierra de montsec
640 x 480
le pic Russel et le Valhibierne
640 x 480
l'Aneto
640 x 480
le pic Russel vu du pic des Salenques
640 x 480

ces images en diaporama
 
 

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Sortie sud du tunnel de Vielha, Aragon
les montées : 1410 m
les efforts : 7 h 00
les cartes :1:50000 Aneto Posets


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Sortie du samedi 17 février 2001, 2 jours
Cotiella

 
la vidéo du cotiella
descente d'un des couloirs de la cues (.avi, 1,5 Mo)

Vidéos
 
 

 
vu ici depuis le pic de bataillence
733 x 474
suelza et fulza, le cotiella est tout seul à droite à l'horizon
727 x 473
la punta llerga domine le col de santa isabel
749 x 491
du taillon au mont perdu, l'envers du cirque de gavarnie
751 x 491
les crampons sortent rapidement du sac commence la era de las brujas
le cotiella et le pic d'espouy, vu de las brujas
738 x 491
début de construction de l'abri
vers le sud: 2000m de descente (jamais enneigés, ne rêvez pas)
au retour de course
493 x 747

ces images en diaporama
 
 
Le Cotiella est célèbre pour son isolement et pour les grands cirques déserts qui l'entourent, dont le caractère étrange s'affirme d'avantage en été. Sa situation nettement au sud de la chaîne principale en fait un belvédère intéressant sur la crête frontière.
La dénivelée entre le village de Saravillo et le sommet est normalement de 1912m, mais la piste qui monte jusqu'au col de Santa Isabel est très praticable avec une voiture ordinaire et réduit les efforts à 1400m.
Trois saisons avaient déjà passé depuis le dernier enneigement favorable au ski dans ce massif (cf. les images prises depuis la punta Suelza en 1998) nous nous sommes donc précipités dans le coin avant qu'une météo capricieuse n'anéantisse ce projet de course.
Le col de Santa Isabel offre déjà à lui seul des vues intéressantes vers la peña montañesa. Sur son versant sud, les pentes plongent rapidement sur des canyons, et des parois calcaires, comme on en trouve fréquemment dans cette région. Nous suivons la fin de la piste, et pouvons chausser les skis à son terminus. La forêt de petits pins est dense, et nous oblige à de multiples détours. A la sortie du bois, la première vraie question qui se pose est de savoir par où franchir les escarpements de la cues. Les passages sont bien enneigés mais semblent raides partout. Nous tirons finalement suffisamment vers la gauche (au nord) pour franchir ce passage par des pentes raisonnables, mais la neige très dure ce matin nous oblige à passer en crampons.
Arrivés sur le plateau, c'est déjà le moment d'une première pause. C'est qu'il est déjà presque 13h00.
Une longue traversée nous attend ensuite, d'abord sur les flancs du Movison Grande, puis sur la era de las brujas, un désert calcaire truffé de courtes descentes et remontées. Il n'y a pas ici d'itinéraire évident qui économiserait le mieux nos efforts pour aller jusqu'au col de la colladeta. Nous prenons donc notre mal en patience, et arrivons enfin au col vers 16h30.
Nous sommes en hiver et les journées sont encore courtes. Nous décidons donc de creuser notre abri ici. Le versant nord du col ne semble pas assez enneigé pour creuser un abri suffisamment profond. Le versant sud est par contre largement pourvu. L'accès au col par ce versant est d'ailleurs défendu par une corniche qui vue de dessus, nous paraît infranchissable à la montée, et nécessiterait l'emploi d'une corde à la descente (rappelons qu'en montagne, il est toujours dangereux de s'approcher d'une corniche, car on ne peut savoir si elle va s'effondrer sous son poids, avant de transformer l'innocent en viande hachée pendant la descente) l'accès au Cotiella par le versant d'armeña semble donc très difficile ce jour là.
Nous creusons donc l'abri du coté sud du col, dans un vent modéré, mais qui nous presse de finir. Une fois l'abri terminé, son entrée que nous avons placée du coté sous le vent est attaquée par des turbulences qui apportent des cristaux de neige sèche. Celui qui est placé près de la porte, avec le réchaud se retrouve rapidement avec la veste et le surpantalon mouillé. Nous abrégeons donc les formalités du soir, et la soupe et les pâtes vite avalées, nous sautons le café et autres infusions; pour nous enfermer rapidement dans les sacs.
Au cours de la nuit, l'aspersion s'aggrave, et ce ne sont plus seulement nos pieds qui sont enneigés, mais les duvets en entier. Nous sommes caparaçonnés de neige. Personne n'ose bouger de peur qu'elle n'entre dans le duvet déjà humide. Pris de doutes, nous observons le plafond, à la recherche d'un trou. Autant de neige ne peut pas venir que de la porte ! Mais nous ne remarquons rien. Nous passons donc une nuit à l'abri du vent mais pas de la neige !
La solution nous apparaîtra le lendemain, au moment où se lever sera un acte d'héroïsme (il faut se sortir de sa gangue de neige, et trouver ses chaussures sous 50cm de poudre) Le vent a érodé durant la nuit la partie frontale du toit, et y a créé une ouverture qui s'est agrandie. Il fallait se retourner pour la voir, (mais dans ces conditions, se retourner demande un courage hors de l'ordinaire)
Nous manquons de chance jusqu'au bout, car le temps couvert nous prive du lever de soleil sur la Maladeta.
Le moral est sérieusement atteint. Nous sautons le petit déjeuner, et doutons même de notre motivation pour aller au sommet pourtant tout proche (plus que 200m de montée) Nous y allons tout de même, sur une neige glacée où même les couteaux finissent par ne plus pénétrer. Nouveau recours aux crampons.
Au sommet le ciel est bas, avec une brume qui empêche de profiter du panorama. A la descente, la neige est soit glacée, soit soufflée et dure, avec des barcanes: avec nos sacs lourds, c'est une punition. Il commence à neiger faiblement, et nous pressons le pas, car la traversé de la era de la brujas sans visibilité est une perspective qui ne nous enchante pas.
Arrivés au niveau de la Cues, nous décidons d'emprunter un des couloirs plus raides repéré à l'aller pour raccourcir le retour. Ce sera le moment le plus intéressant de la descente. Le temps s'est dégagé, et nous regrettons maintenant de ne pas être encore au sommet pour admirer le panorama ! Nous profitons tout de même de la vue sur la vallée de piñeta, et le versant sud du mont perdu.
De retour au col de Santa Isabel, nous rattraperons tout de même notre petit déjeuner perdu en mettant à profit la cabane accueillante et le beau temps revenu. Au total c'est une longue, longue course.

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Col de Santa Isabel (1542m) au dessus du village de Saravillo et à proximité de Bielsa, Aragon
les montées : 1912 m
les efforts : 12 h 00
les cartes :Editorial Alpina:Cotiella
1:50000 Aneto Posets

Du col de Santa Isabel (1542m, cabane) poursuivre la piste jusqu'à son terminus (1760m, abreuvoirs) prendre vers le sud-est jusqu'au pied des escarpements calcaires, et tirer vers la gauche jusque vers le troisième couloir (gradins et barres rocheuses)
Remonter le couloir, puis changer de direction en partant vers le sud pour traverser la era de la brujas, desésespérément plate (en fait, pleine de bombements qui rendent compliquée la recherche de l'itinéraire le plus économique)
A mesure que l'on avance, le Cotiella apparait, puis son voisin le Pic d'Espouy.
Continuer vers la colladeta (2705m) avant de viser le sommet (2912m)
Descente par le même itinéraire.


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Sortie du dimanche 09 mai 1999, 1 journée
Estaragne

 
491 x 739
au sommet, vers le néouvielle
734 x 486
le pic de la gela et la munia
490 x 731
vers le mont perdu et le cylindre
742 x 489

ces images en diaporama
 
 
Le pic d'estaragne, c'est une course au fond d'un vallon très peu accessible l'hiver, sauf à vouloir faire un raid dans le coin uniquement pour lui. La route des lacs dans le massif du Néouvielle est un accès facile vers ce sommet, mais l'hiver, la vallée qu'elle emprunte est soumise aux avalanches, et est de toute façon assez longue et peu intéressante pour vous convaincre d'aller ailleurs. L'autre accès possible serait par Piau Engaly et le port de campbiel, mais n'ayez pas l'espoir de faire l'aller retour dans la journée. Au printemps par contre, on peut attendre le moment où la neige a fondu suffisamment haut sur la route des lacs pour retrouver l'itinéraire d'été. C'est alors un plaisir de se trouver dans ce massif, en profitant de la douceur de ces journées de fin de saison.
On monte donc la voiture aussi haut que possible vers le virage coté 2072 au départ du vallon d'estaragne. Si la route est déneigée jusque là, vous aurez probablement du portage de skis dans la première partie du vallon, mais elle monte assez peu. Lorsque les pentes se redressent par contre, elles changent aussi d'orientation et sont fréquemment enneigées (sinon, vous avez trop attendu, mais c'est là tout l'exercice d'attendre assez le dégagement de la route, et assez peu pour conserver l'enneigement de votre terrain de jeu). Les pentes de l'itinéraire restent soutenues quasiment jusqu'au sommet, ce qui devrait interdire de proposer cette sortie aux débutants, sauf à vouloir les mettre mal à l'aise (d'un autre coté, à cette saison, on ne croise plus beaucoup de débutants dans les couloirs du club. Ils ont tous tendance à penser que le ski, c'est fini)
Ces pentes sont orientées est, ce qui doit vous encourager à partir tôt, si vous voulez avoir une neige skiable à la descente. Sinon la combinaison neige pourrie et pente forte qui vous attend ne vous laissera pas d'extraordinaires souvenirs.
Au sommet, en dehors du massif de Néouvielle, la vue s'étend sur du pic de la Géla et de la Munia jusqu'aux sommets de Gavarnie. Accessoirement, on domine aussi, vertigineusement, la station de Piau Engaly.

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Le virage au départ du vallon d'Estaragne (2072m) sur la route du lac de Cap de Long, Hautes Pyrénées
les montées : 900 m
les efforts : 4 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
TOP25 1748 ET Neouvielle
1:50000 Aneto Posets

Plutôt une sortie de fin de saison, lorsque la route des lacs du Néouvielle est débarrassée des avalanches qui la coupent jusqu'à la fin du printemps. On monte donc la voiture aussi haut que possible vers le virage coté 2072 au départ du vallon d'Estaragne. A partir du virage, bifurquer vers le sud, dans le vallon, quasiment plat, et aussi déneigé que la route. La neige apparaît peu à peu, par plaques disséminées, puis qui se rapprochent à se souder, à mesure que l'on avance, et l'on peut enfin chausser les skis.
Vers 2200m, les pentes se redressent à mesure que l'itinéraire s'oriente vers l'ouest, et restent soutenues quasiment jusqu'au sommet que l'on aperçoit à partir de 2350m.
Ces pentes sont orientées est, ce qui doit vous encourager à partir tôt, si vous voulez avoir une neige skiable à la descente. Sinon la combinaison neige pourrie et pente forte qui vous attend ne vous laissera pas d'extraordinaires souvenirs, sans parler des avalanches de fond, qui n'attendent qu'une occasion de vous désosser.
Au sommet, en dehors du massif de Néouvielle, la vue s'étend sur du pic de la Géla et de la Munia jusqu'aux sommets de Gavarnie. Accessoirement, on domine aussi, vertigineusement, la station de Piau Engaly.
Descente par le même itinéraire.


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Sortie du samedi 20 mars 1999, 2 jours
Pic de Hourgade

 
sur le lac nère
485 x 726
732 x 476
début d'installation du bivouac sous le sommet
744 x 481
ça prend forme
728 x 468
737 x 480
481 x 739
le pic d'aubert dans le massif de néouvielle
726 x 477
le bivouac est à l'extrémité de l'arête
741 x 482
739 x 482

ces images en diaporama
 
 
Une sortie prévue spécialement pour le bivouac. Départ de la station de ski de peyragudes, en emprûntant les remontées de la station. bivouac près du sommet (attention aux gamelles et aux gourdes, sinon repas glacé garanti).
La tranchée igloo avait été faite dans la corniche sur l'arête sommitale, et le toit s'était avéré solide malgré nos craintes au cours de la nuit.
La vue depuis les crêtes le lendemain en mettant le nez à la porte était très belle. à vous donner envie de remettre ça rapidement sur d'autres sommets.
notez que depuis ce sommet la vue est très variée sur différents massifs (caractéristique que l'on retrouve de façon encore plus probante au lustou).
pour rentrer nous sommes passés par le sommet du pic de montségu (voisin). la descente dans la neige transformée fut très agréable. une sortie à recommander

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : L'arrivée du télésiège de Serre Doumenge (2238m) à proximité du Cap des Pales, station de ski de Peyragudes, Hautes Pyrénées
les montées : 1600 m
les efforts : 10 h 00
les cartes :1:50000 Luchon
TOP25 1848 OT Bagneres-de-Luchon
1:50000 Aneto Posets

Descendre vers le sud-ouest (exposition ouest et pente : délicat par neige dure le matin au printemps) jusqu'au replat coté 1852m.
Mettre les peluches, et attaquer, plein sud, la montée raide qui vous amène dans une zone marécageuse vers 2120m, au pied du pic de Brudaillet.
Continuer toujours plein sud vers les lacs de Nère que l'on passe par la gauche (rive droite).
Prendre légerement sur la gauche par les gradins du pic de Nère, puis à droite dès que possible pour atteindre le lac vers 2800m.
Du lac, ne pas viser directement le sommet, mais le nord-ouest du cirque pour atteindre la crête. Il n'y a plus qu'à la suivre, en laissant les skis peu avant le sommet.
Descente par le même itinéraire.


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Sortie du samedi 09 mai 1998, 1 journée
Punta Suelza

 
vue sur les posets
au col entre punta suelza et punta fulza
471 x 721
au sommet de la punta suelza
748 x 497
le massif du cotiella, vu de la punta suelza
750 x 499
le val d'urdiceto, mont perdu et cylindre sur l'horizon
742 x 487
le mont perdu, le cylindre et les couloirs des esparrets
750 x 500

ces images en diaporama
 
 
La punta suelza est située entièrement en Espagne, entre la crête frontière au nord, et le Cotiella au sud. C'est un lieu de prédilection pour les randonneurs pédestres l'été, mais un endroit sauvage l'hiver. C'était une course particulièrement longue avant l'ouverture du tunnel Aragnouet-Bielsa. Il fallait alors partir de la vallée de Rioumajou et passer le col d'Ourdissetou.
Aujourd'hui on part plutôt du village de Parzan. La piste peu carrossable monte dans une vallée assez encaissée jusqu'à la centrale d'ourdissetou. Si vous n'aimez pas votre voiture (et que vous vouliez en changer) vous pourrez éventuellement arriver jusque là au printemps, avant de chausser les skis. Sinon le parcours de la piste avec les skis sur le sac reste un morceau de bravoure. On monte donc à skis jusqu'au lac d'Ourdissetou, d'où l'on part vers l'est, à flanc pour passer au pied d'une barre rocheuse. On trouve alors une large combe vers le sud ouest. Il est fréquent de trouver sur la droite de cette combe une énorme plaque de neige instable (sur des rochers glissants) Chaque fois que je suis passé, elle était déjà partie, mais son épaisseur est assez impressionnante. Méfiance donc, passez sur la gauche. La pente devient plus difficile à mesure que l'on approche du col sans nom entre suelza et fulza (tous ceux qui décrochent le font à cet endroit, il faut dire que lorsque l'on arrive de Parzan, skis sur le sac, la fatigue commence à se faire sentir, et il ne faut pas oublier la descente). On suit ensuite l'arête orientée sud est jusqu'à une série de gendarmes rocheux. Ceux ci se contournent facilement par le sud ouest. On arrive ainsi au sommet. Vous pouvez alors admirer la muraille de barroude, la vallée de pineta, les posets, le cotiella… La descente dans ce coin sauvage, est sympathique, et l'on y croise pas grand monde. C'est une sortie assez dépaysante par rapport à celles du versant nord des pyrénées.

la marche d'approche est beaucoup trop longue à pied !
marie-pierre, christian et agnès


 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Le village de Parzan, au niveau du panneau 'Lago d'Ordiceto 11km' sur la gauche peu avant d'arriver à Bielsa, Aragon
les montées : 1500 m
les efforts : 8 h 00
les cartes :Editorial Alpina:Bachimala
1:50000 Aneto Posets

La punta Suelza est située entièrement en Espagne, entre la crête frontière au nord, et le Cotiella au sud. C'est un lieu de prédilection pour les randonneurs pédestres l'été, mais un endroit sauvage l'hiver. C'était une course particulièrement longue avant l'ouverture du tunnel Aragnouet-Bielsa. Il fallait alors partir de la vallée de Rioumajou et passer le col d'Ourdissetou.
Aujourd'hui on part plutôt du village de Parzan. La piste peu carrossable monte dans une vallée assez encaissée jusqu'à la centrale d'Ourdissetou. Si vous n'aimez pas votre voiture (et que vous vouliez en changer) vous pourrez éventuellement arriver jusque là au printemps, avant de chausser les skis. Sinon le parcours de la piste avec les skis sur le sac reste un morceau de bravoure.
On monte donc à skis jusqu'au lac d'Ourdissetou, d'où l'on part vers l'est, à flanc pour passer au pied d'une barre rocheuse. On trouve alors une large combe vers le sud ouest. Il est fréquent de trouver sur la droite de cette combe une énorme plaque de neige instable (sur des rochers glissants) Chaque fois que je suis passé, elle était déjà partie, mais son épaisseur est assez impressionnante. Méfiance donc, passez sur la gauche. La pente devient plus difficile à mesure que l'on approche du col sans nom entre Suelza et Fulza (tous ceux qui décrochent le font à cet endroit, il faut dire que lorsque l'on arrive de Parzan, skis sur le sac, la fatigue commence à se faire sentir, et il ne faut pas oublier la descente). On suit ensuite l'arête orientée sud est jusqu'à une série de gendarmes rocheux. Ceux ci se contournent facilement par le sud ouest. On arrive ainsi au sommet. Vous pouvez alors admirer la muraille de Barroude, la vallée de Pineta, les Posets, le Cotiella…
La descente dans ce coin sauvage, est sympathique, et l'on y croise pas grand monde. C'est une sortie assez dépaysante par rapport à celles du versant nord des pyrénées.


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vous trouverez toujours un moniteur pour d'autres sorties, tous les jeudi soir à partir de 19h30 en saison
 le local est dans le couloir, sous les amphis Curie et Langevin à l'UPS

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La lecture de ces pages ne vous dispense pas d'être encadré par une personne formée et expérimentée, capable de choisir la course convenant au niveau des participants, et d'adapter l'itinéraire sur le terrain pour en éviter les dangers inapparents pour vous ou pour les autres
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randos à ski à partir du refuge Estany Long
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Auteur: D.Monniot
Date: jeudi 26 mars 2009 à 11h52
pouvez- vous me donner des idées de rando à ski , deniv 1000 a1500m à partir d' estany long ; j' y serai 2 jours mi-avril
merci
--
d.monniot


Re: randos à ski à partir du refuge Estany Long
Répondre
Auteur: hervé
Date: vendredi 27 mars 2009 à 17h26

Dans les Encantats donc?
Le pic de Subenulls est un peu le must du coin, mais la fin est raide. Après tu as le pic de Contraix ou le tuc de Colomers, mais pas de sommet skis aux pieds. il faut être à l'aise en grosses dans le mixte. Et puis il y a le tuc de Ratera accessible à skis, mais de ce refuge, ça commence à faire loin...
--
quand on ne peut rallonger la vie...


recherche partenaire
Répondre
Auteur: francois
Date: jeudi 19 mars 2009 à 13h59
Bonjour je fais beaucoup d'activité en montagne comme la randonnée ou le ski de rando et un peux d'escalade .

Je m'occupe de l'entretien des refuges et cabanes dans les PO.

Je cherche quelqu'un pour me faire découvrir l'alpinisme.
j'habite dans l'Aude et je vais plutôt dans les PO et
L ARIÈGE .

Je laisse mon MAIL si cela intéresse quelqu'un j'ai 29 ans et je suis en bonne condition physique .

fran********guariguenc@wanadoo.fr
--
FRANCOIS


Découverte Pyrénées
Répondre
Auteur: Benjamin
Date: jeudi 12 février 2009 à 09h07
Bonjour,

Je suis dijonnais et je serai à Ax Les Termes la semaine prochaine.

Je voudrais faire découvrir cette activité de ski-alpinisme à qqs copains, si les conditions le permettent bien sur!
Que me conseillerez-vous comme sortie dans les +1000 dans ce coin là? Et y a t-il des spécificités au niveau sécurité dans les Pyrénées?


Merci d'avance
:)


Re: Découverte Pyrénées
Répondre
Auteur: hervé
Date: samedi 21 février 2009 à 01h04

j'étais en vacances la semaine dernière (je passe pas mon temps devant l'ordinateur, c'est juste un outil pour organiser mes propres sorties)
à brule pourpoint il me vient les pics de font nègre à proximité de l'Andorre, le pic de coume d'or, le pic dels pedrons et le pic de la mine.
quand on ne veut pas s'éloigner d'Ax, les sommets sont moins pour débutants.
spécificités ? la neige reste la neige, mais dans les pyrénées elle transforme en général assez vite, sous l'influence des vents d'ouest.
bon séjour
--
quand on ne peut rallonger la vie...


sorties en semaine
Répondre
Auteur: herve
Date: dimanche 25 novembre 2007 à 22h35
Comme chaque saison, je propose à ceux qui ont des dispos en semaine d en profiter à la neige (sauvage)
--
...il faut la rendre plus intense


montségu, vallée blanche
Répondre
Auteur: hervé
Date: dimanche 05 février 2006 à 20h10
on revient d'une sortie débutants au montségu:
l'itinéraire de la vallée blanche était balisé, damé, et interdit aux randonneurs.
maintenant pour être tranquille il ne reste qu'à y aller en tout début de saison, avant que la station n'ouvre.
sinon neige poudreuse sur les versants nord, belle descente
--
quand on ne peut rallonger la vie...


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