total: 9173 m de dénivelée, 7 courses
sorties ski-alpinisme avec l'ASUPS (anciennes courses)
perdu
Sortie du mercredi 12 avril 2006, 1 journée Bocca Tomaginesca (col perdu)
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Comme je commence à avoir du mal à me renouveller dans les pyrénées, je me decide à ajouter quelques balades corses (vous allez voir qu'ici, ça va bientôt tourner au blog)
Pour commencer, les meilleures photos dont je dispose concernent une montée à skis mixtes (ski de randonnée nordique) au col perdu.
Ce col, bien connu des adeptes du GR20, sépare la vallée d'Asco du cirque de la solitude, réputé austère et pentu.
L'itinéraire suit au départ l'ancienne piste de ski, où les pins laricio reprennent leurs droits en occupant à nouveau le terrain.
arrivé à l'extrémité supérieure du téléski (1818m) l'on redescend légerement d'une centaine de m sur la gauche, dans le vallon du stranciacone. Ceci pour raison d'enneigement au moins ce jour là. Avec un enneigement plus favorable, on peut envisager de partir directement de ce vallon, mais il faudra alors laisser la voiture avant la station.
On reste sur la gauche du vallon en utilisant le pont de neige qui recouvre le ruisseau descendant de la pointe de la galère.
Le col est en vue, mais la pente se redresse, les couteaux peuvent alors être utiles suivant les conditions de neige.
Arrivé au col, dominant le cirque de la solitude, on découvre aussi la Punta a u Missoghju et Punta Stranciacone sous un angle qui leur donne une allure plus vertigineuse.
Si l'on s'attarde un peu, on peut également apercevoir Calvi |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Ancienne station de ski du Haut Asco, plateau de stagnu |
les montées : | 761 m |
les efforts : | 3 h 00 |
les cartes : | TOP25 4250 OT Corte.Monte Cinto |
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Sortie du samedi 17 février 2001, 2 jours Cotiella
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Le Cotiella est célèbre pour son isolement et pour les grands cirques déserts qui l'entourent, dont le caractère étrange s'affirme d'avantage en été. Sa situation nettement au sud de la chaîne principale en fait un belvédère intéressant sur la crête frontière.
La dénivelée entre le village de Saravillo et le sommet est normalement de 1912m, mais la piste qui monte jusqu'au col de Santa Isabel est très praticable avec une voiture ordinaire et réduit les efforts à 1400m.
Trois saisons avaient déjà passé depuis le dernier enneigement favorable au ski dans ce massif (cf. les images prises depuis la punta Suelza en 1998) nous nous sommes donc précipités dans le coin avant qu'une météo capricieuse n'anéantisse ce projet de course.
Le col de Santa Isabel offre déjà à lui seul des vues intéressantes vers la peña montañesa. Sur son versant sud, les pentes plongent rapidement sur des canyons, et des parois calcaires, comme on en trouve fréquemment dans cette région. Nous suivons la fin de la piste, et pouvons chausser les skis à son terminus. La forêt de petits pins est dense, et nous oblige à de multiples détours. A la sortie du bois, la première vraie question qui se pose est de savoir par où franchir les escarpements de la cues. Les passages sont bien enneigés mais semblent raides partout. Nous tirons finalement suffisamment vers la gauche (au nord) pour franchir ce passage par des pentes raisonnables, mais la neige très dure ce matin nous oblige à passer en crampons.
Arrivés sur le plateau, c'est déjà le moment d'une première pause. C'est qu'il est déjà presque 13h00.
Une longue traversée nous attend ensuite, d'abord sur les flancs du Movison Grande, puis sur la era de las brujas, un désert calcaire truffé de courtes descentes et remontées. Il n'y a pas ici d'itinéraire évident qui économiserait le mieux nos efforts pour aller jusqu'au col de la colladeta. Nous prenons donc notre mal en patience, et arrivons enfin au col vers 16h30.
Nous sommes en hiver et les journées sont encore courtes. Nous décidons donc de creuser notre abri ici. Le versant nord du col ne semble pas assez enneigé pour creuser un abri suffisamment profond. Le versant sud est par contre largement pourvu. L'accès au col par ce versant est d'ailleurs défendu par une corniche qui vue de dessus, nous paraît infranchissable à la montée, et nécessiterait l'emploi d'une corde à la descente (rappelons qu'en montagne, il est toujours dangereux de s'approcher d'une corniche, car on ne peut savoir si elle va s'effondrer sous son poids, avant de transformer l'innocent en viande hachée pendant la descente) l'accès au Cotiella par le versant d'armeña semble donc très difficile ce jour là.
Nous creusons donc l'abri du coté sud du col, dans un vent modéré, mais qui nous presse de finir. Une fois l'abri terminé, son entrée que nous avons placée du coté sous le vent est attaquée par des turbulences qui apportent des cristaux de neige sèche. Celui qui est placé près de la porte, avec le réchaud se retrouve rapidement avec la veste et le surpantalon mouillé. Nous abrégeons donc les formalités du soir, et la soupe et les pâtes vite avalées, nous sautons le café et autres infusions; pour nous enfermer rapidement dans les sacs.
Au cours de la nuit, l'aspersion s'aggrave, et ce ne sont plus seulement nos pieds qui sont enneigés, mais les duvets en entier. Nous sommes caparaçonnés de neige. Personne n'ose bouger de peur qu'elle n'entre dans le duvet déjà humide. Pris de doutes, nous observons le plafond, à la recherche d'un trou. Autant de neige ne peut pas venir que de la porte ! Mais nous ne remarquons rien. Nous passons donc une nuit à l'abri du vent mais pas de la neige !
La solution nous apparaîtra le lendemain, au moment où se lever sera un acte d'héroïsme (il faut se sortir de sa gangue de neige, et trouver ses chaussures sous 50cm de poudre) Le vent a érodé durant la nuit la partie frontale du toit, et y a créé une ouverture qui s'est agrandie. Il fallait se retourner pour la voir, (mais dans ces conditions, se retourner demande un courage hors de l'ordinaire)
Nous manquons de chance jusqu'au bout, car le temps couvert nous prive du lever de soleil sur la Maladeta.
Le moral est sérieusement atteint. Nous sautons le petit déjeuner, et doutons même de notre motivation pour aller au sommet pourtant tout proche (plus que 200m de montée) Nous y allons tout de même, sur une neige glacée où même les couteaux finissent par ne plus pénétrer. Nouveau recours aux crampons.
Au sommet le ciel est bas, avec une brume qui empêche de profiter du panorama. A la descente, la neige est soit glacée, soit soufflée et dure, avec des barcanes: avec nos sacs lourds, c'est une punition. Il commence à neiger faiblement, et nous pressons le pas, car la traversé de la era de la brujas sans visibilité est une perspective qui ne nous enchante pas.
Arrivés au niveau de la Cues, nous décidons d'emprunter un des couloirs plus raides repéré à l'aller pour raccourcir le retour. Ce sera le moment le plus intéressant de la descente. Le temps s'est dégagé, et nous regrettons maintenant de ne pas être encore au sommet pour admirer le panorama ! Nous profitons tout de même de la vue sur la vallée de piñeta, et le versant sud du mont perdu.
De retour au col de Santa Isabel, nous rattraperons tout de même notre petit déjeuner perdu en mettant à profit la cabane accueillante et le beau temps revenu. Au total c'est une longue, longue course.
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Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Col de Santa Isabel (1542m) au dessus du village de Saravillo et à proximité de Bielsa, Aragon |
les montées : | 1912 m |
les efforts : | 12 h 00 |
les cartes : | Editorial Alpina:Cotiella
1:50000 Aneto Posets |
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Sortie du dimanche 09 mai 1999, 1 journée Estaragne
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Le pic d'estaragne, c'est une course au fond d'un vallon très peu accessible l'hiver, sauf à vouloir faire un raid dans le coin uniquement pour lui. La route des lacs dans le massif du Néouvielle est un accès facile vers ce sommet, mais l'hiver, la vallée qu'elle emprunte est soumise aux avalanches, et est de toute façon assez longue et peu intéressante pour vous convaincre d'aller ailleurs. L'autre accès possible serait par Piau Engaly et le port de campbiel, mais n'ayez pas l'espoir de faire l'aller retour dans la journée.
Au printemps par contre, on peut attendre le moment où la neige a fondu suffisamment haut sur la route des lacs pour retrouver l'itinéraire d'été. C'est alors un plaisir de se trouver dans ce massif, en profitant de la douceur de ces journées de fin de saison.
On monte donc la voiture aussi haut que possible vers le virage coté 2072 au départ du vallon d'estaragne. Si la route est déneigée jusque là, vous aurez probablement du portage de skis dans la première partie du vallon, mais elle monte assez peu. Lorsque les pentes se redressent par contre, elles changent aussi d'orientation et sont fréquemment enneigées (sinon, vous avez trop attendu, mais c'est là tout l'exercice d'attendre assez le dégagement de la route, et assez peu pour conserver l'enneigement de votre terrain de jeu). Les pentes de l'itinéraire restent soutenues quasiment jusqu'au sommet, ce qui devrait interdire de proposer cette sortie aux débutants, sauf à vouloir les mettre mal à l'aise (d'un autre coté, à cette saison, on ne croise plus beaucoup de débutants dans les couloirs du club. Ils ont tous tendance à penser que le ski, c'est fini)
Ces pentes sont orientées est, ce qui doit vous encourager à partir tôt, si vous voulez avoir une neige skiable à la descente. Sinon la combinaison neige pourrie et pente forte qui vous attend ne vous laissera pas d'extraordinaires souvenirs.
Au sommet, en dehors du massif de Néouvielle, la vue s'étend sur du pic de la Géla et de la Munia jusqu'aux sommets de Gavarnie. Accessoirement, on domine aussi, vertigineusement, la station de Piau Engaly. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le virage au départ du vallon d'Estaragne (2072m) sur la route du lac de Cap de Long, Hautes Pyrénées |
les montées : | 900 m |
les efforts : | 4 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Bigorre
TOP25 1748 ET Neouvielle
1:50000 Aneto Posets |
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Sortie du mardi 15 avril 1997, 4 jours tour du cirque de Gavarnie
Cette année là (ou du moins cette semaine là, car il a neigé la semaine suivante) il avait fallu chercher la neige assez haut. Pour éviter les traversées de vallées déneigées, nous nous sommes décidés pour le tour du cirque de gavarnie.
Cela commence par la montée au plateau de pailla, skis sur le sac, et nous n'avons trouvé la neige qu'après le refuge des espuguettes. La montée jusqu'à la hourquette d'Alanz était en neige pourrie (comme tous les ans à cette époque à ce qu'il semble, vous êtes prévenus) Nous sommes arrivés à la hourquette en fin d'après midi. Comme la journée était bien avancée, nous avons bivouaqué dans le cirque d'Estaubé, face au lac des Gloriettes, à mi-chemin entre la hourquette et le couloir de Tuquerouye.
Le lendemain, petite journée. La montée du couloir de Tuquerouye nous a fait arriver à la brèche du même nom vers 14h. il était donc bien tard pour entamer la montée vers le col du cylindre. Ce fut une après midi de sieste au refuge de Tuquerouye, alors non rénové. Il n'y avait qu'une salle d'utilisable, dont le plafond laissait d'ailleurs passer un filet d'eau au goutte à goutte (bien choisir sa place pour la nuit) Il semble que les choses soient bien améliorées depuis.
Levés à 5h00, non sortons du refuge vers 6h30 alors qu'il fait encore nuit. La descente coté sud de la brèche, très caillouteuse, est donc prudente avec les sacs encore si chargés. A mi-hauteur de cette descente, nous pouvons chausser les skis, mais la neige durcie par la nuit est carrément désagréable à skier, avec des pénitents formés par la fonte, qui empêchent de placer ses virages où l'on veut.
En face, pour la remontée vers le col du cylindre, la neige exposée déjà au soleil, s'attendrit rapidement permettant de remettre les peaux sous les skis après une montée entamée à pieds.
Arrivés au col du cylindre nous croisons des français qui passent dans l'autre sens. Ils nous donnent une météo récente : il semble qu'une perturbation soit prévue pour le lendemain soir, avec des chutes de neige. Entre un bivouac forcé dans la tempête sur les hauteurs du cirque (façon chasseurs alpins, les trois randonneurs de la Vanoise n'ayant pas encore fait la une à cette époque) ou la trace directe vers le refuge des Sarradets en oubliant tous projets de sommets du cirque, la majorité du groupe, (deux voix contre une) se prononce pour la seconde option. Nous avons devant nous une longue journée sur les vires sud du cirque de Gavarnie, qui nous amène vers 20h30 au refuge (l'hiver on y entre par une fenêtre équipée a l'extérieur d'une échelle)
Nous sommes seuls. impressions encore une fois, de bout du monde.
Lever tardif, vers 9h00. Il nous reste la seule descente qui sera réellement agréable à faire, sur une neige transformée, jusqu'à la cabane du soldat (attention à tenir l'azimut pendant la descente, sinon on arrive très facilement au-dessus de barres rocheuses d'une quarantaine de mètres de haut, et le bon passage n'est pas si large)
le reste n'est plus qu'une descente à pieds par le plateau de Bellevue, bien connu des touristes baladeurs l'été.
(la fameuse perturbation n'était toujours pas là, mais il était vrai qu'il a beaucoup neigé par la suite, car un autre groupe de la fac a suivi ce parcours dans l'autre sens la semaine suivante et a trouvé beaucoup de neige récente) |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le village de Gavarnie (1365m), Hautes Pyrénées |
les montées : | 2400 m |
les efforts : | 21 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Bigorre
Editorial Alpina:Ordesa
TOP25 1748 OT Gavarnie |
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Sortie du dimanche 06 avril 1997, 1 journée Pic de Lustou
Ce sommet se caractérise par une vue très variée sur de nombreux massifs (Luchonnais, Gavarnie, Vignemale, Néouvielle, Barroude). Par contre, il demande une expérience certaine de la montagne car la fin se déroule sur une arête, et demande donc de ne pas être trop facilement impressionnable par ce genre de terrain (avec en plus des chaussures de ski aux pieds)
Le parcours de cette arête n'est pas trop aérien (encore que dans ce domaine, la subjectivité ait une place immense) mais demande une quinzaine de minutes.
L'autre paramètre dont il faut tenir compte est que souvent en plein hiver, la route est coupée par des avalanches, et si vous attendez trop longtemps la fonte (pour approcher suffisamment près en voiture) la neige remonte d'autant au-dessus de votre point de départ, obligeant au portage des skis.
Notez d'ailleurs que cette route est interdite en hiver (PV à 900F)
Il faut donc bien choisir son moment pour profiter au maximum de cette sortie, d'un point de vue de skieur en tout cas.
Si vous voulez profiter pleinement de la vue, sans vous contenter de ne voir que 'des montagnes', je vous recommande d'emmener la carte au 1:50 000 pour repérer au moins les sommets les plus connus. Ils sont pléthore à repérer (Posets, Fulza, Mont Perdu, Néouvielle, Vignemale, Balaïtous... prévoyez du temps pour les repérer tous !)
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Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Le pont au bas du thalweg de la piarre (1503m, couloir d'avalanche) au dessus des granges de Frédancon, dans la vallée du Rioumajou, Hautes Pyrénées |
les montées : | 1000 m |
les efforts : | 5 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Bigorre
TOP25 1748 ET Neouvielle |
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vous trouverez toujours un moniteur pour d'autres sorties, tous les jeudi soir à partir de 19h30 en saison
le local est dans le couloir, sous les amphis Curie et Langevin à l'UPS
Le ski-alpinisme s'adresse à des skieurs ayant une très bonne connaissance du milieu montagnard. A défaut, l'improvisation vous met en danger.La lecture de ces pages ne vous dispense pas d'être encadré par une personne formée et expérimentée, capable de choisir la course convenant au niveau des participants, et d'adapter l'itinéraire sur le terrain pour en éviter les dangers inapparents pour vous ou pour les autres
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randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: D.Monniot
Date: jeudi 26 mars 2009 à 11h52 pouvez- vous me donner des idées de rando à ski , deniv 1000 a1500m à partir d' estany long ; j' y serai 2 jours mi-avril
merci
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d.monniot
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Re: randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: hervé
Date: vendredi 27 mars 2009 à 17h26
Dans les Encantats donc?
Le pic de Subenulls est un peu le must du coin, mais la fin est raide. Après tu as le pic de Contraix ou le tuc de Colomers, mais pas de sommet skis aux pieds. il faut être à l'aise en grosses dans le mixte. Et puis il y a le tuc de Ratera accessible à skis, mais de ce refuge, ça commence à faire loin...
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: francois
Date: jeudi 19 mars 2009 à 13h59 Bonjour je fais beaucoup d'activité en montagne comme la randonnée ou le ski de rando et un peux d'escalade .
Je m'occupe de l'entretien des refuges et cabanes dans les PO.
Je cherche quelqu'un pour me faire découvrir l'alpinisme.
j'habite dans l'Aude et je vais plutôt dans les PO et
L ARIÈGE .
Je laisse mon MAIL si cela intéresse quelqu'un j'ai 29 ans et je suis en bonne condition physique .
fran********guariguenc@wanadoo.fr
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FRANCOIS
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Auteur: Benjamin
Date: jeudi 12 février 2009 à 09h07 Bonjour,
Je suis dijonnais et je serai à Ax Les Termes la semaine prochaine.
Je voudrais faire découvrir cette activité de ski-alpinisme à qqs copains, si les conditions le permettent bien sur!
Que me conseillerez-vous comme sortie dans les +1000 dans ce coin là? Et y a t-il des spécificités au niveau sécurité dans les Pyrénées?
Merci d'avance
:)
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Auteur: hervé
Date: samedi 21 février 2009 à 01h04
j'étais en vacances la semaine dernière (je passe pas mon temps devant l'ordinateur, c'est juste un outil pour organiser mes propres sorties)
à brule pourpoint il me vient les pics de font nègre à proximité de l'Andorre, le pic de coume d'or, le pic dels pedrons et le pic de la mine.
quand on ne veut pas s'éloigner d'Ax, les sommets sont moins pour débutants.
spécificités ? la neige reste la neige, mais dans les pyrénées elle transforme en général assez vite, sous l'influence des vents d'ouest.
bon séjour
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: herve
Date: dimanche 25 novembre 2007 à 22h35 Comme chaque saison, je propose à ceux qui ont des dispos en semaine d en profiter à la neige (sauvage)
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...il faut la rendre plus intense
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Auteur: hervé
Date: dimanche 05 février 2006 à 20h10 on revient d'une sortie débutants au montségu:
l'itinéraire de la vallée blanche était balisé, damé, et interdit aux randonneurs.
maintenant pour être tranquille il ne reste qu'à y aller en tout début de saison, avant que la station n'ouvre.
sinon neige poudreuse sur les versants nord, belle descente
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quand on ne peut rallonger la vie...
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