total: 9080 m de dénivelée, 7 courses
sorties ski-alpinisme avec l'ASUPS (anciennes courses)
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Sortie du dimanche 27 décembre 1998, 2 jours Canigou
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Je sais! ça fait un peu loin! mais c'était pendant les vacances de noël, nous avions envisagé de faire un raid (en Cerdagne). Impossible d'avoir plus de trois jours de beau temps d'affilée sur le massif. Alors que vers la cote méditerranéenne, (comme souvent par flux d'ouest) ça semblait un peu plus calme. Et puis le Canigou, c'est un peu un mythe!
(d'accord, c'était surtout un mythe pour les navigateurs antiques, mais il a tout de même longtemps passé pour le plus haut sommet des Pyrénées, et même de nos jours, j'ai entendu un journaliste parisien sortir cette ânerie, propre à choquer tous les pyrénéistes -le Canigou plus haut sommet des Pyrénées-, dans un documentaire sur les mirages: il arrive en effet que l'on voie le Canigou de Marseille, alors qu'en suivant une ligne droite, les rayons lumineux passeraient, au plus profond, à 120m sous l'eau, au large des saintes-maries de la mer)
Bref, voilà une bonne raison d'aller s'y frotter. Enfin si vous passez la majeure partie de vos randonnées vers le centre de la chaîne (comme moi) le dépaysement est assuré.
Nous pensions bivouaquer plutôt que d'utiliser le chalet des cortalets, beaucoup trop civilisé (fréquenté ?) pour nous. Mais en cours de montée nous avons rencontré une petite cabane sympathique qui nous tendait les bras. nous y avons tenu à quatre sans être trop serrés, et de plus elle se situe peu après la sortie de la forêt (vers 2000m), dans un endroit dégagé qui laisse apercevoir le pech de bugarach.
Nous étions équipés de matériel alpin, mais celui ci ne s'avère utile que dans de rares et courtes montées entre le chalet des cortalets et le pic Joffre. Pour le reste l'itinéraire se fait surtout en traversée jusqu'à proximité du sommet, ou sur des pistes forestières. Les skis nordiques me semblent donc plus indiqués du fait du gain de poids qu'ils assurent lors du portage toujours possible malgré les pistes (une zone de neige fondue et regelée, située dans une zone a l'ombre, nous a obligé à laisser les voitures assez bas). Ces skis sont également très indiqués pour les montées par les pistes forestières enneigées, ils laissent le pied se dérouler plus naturellement, apportant une souplesse et donc un confort certain. Il faut garder à l'esprit que la fin de l'itinéraire entre le pic Joffre et le sommet est rarement enneigé car très venté. Les passages raides sont donc très rares.
Au sommet la vue est très inhabituelle, ne serait-ce que parce que l'on voit la mer, skis aux pieds. mais le paysage dans son ensemble (méditerranéen) est aussi très différent de celui que l'on rencontre dans les Pyrénées centrales.
C'est une sortie dont nous gardons un très bon souvenir. Il est vrai que la longueur du trajet, par rapport à nos habitudes, le réserve aux périodes de vacances plus qu'aux week-end 'normaux'. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | La piste du chalet des Cortalets est praticable avec une voiture ordinaire. Elle démarre vers 800m, entre les villages de Taurinya et Fillols (Pyrénées Orientales) L'altitude de départ dépend de l'enneigement |
les montées : | 1900 m |
les efforts : | 12 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Canigou
TOP25 2349 ET Canigou |
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Sortie du dimanche 18 janvier 1998, 1 journée Puigmal
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Depuis Toulouse, le Puigmal représente déjà un trajet relativement long. Aussi le groupe, qui avait trouvé moyen de s'héberger à proximité, s'était retrouvé à Ax les thermes à 6h30. à cette date, les autres massifs pyrénéens avaient du mal à nous attirer, faute de neige.
Nous sommes arrivés à la station de ski d'Err Puigmal alors que le jour se levait à peine, évitant ainsi de remonter le flux des pistards dont nous utilisions pour une part l'itinéraire (La réglementation ne vous autorise, comme skieur de randonnée, qu'à traverser les pistes de ski. Normalement vous ne pouvez suivre un de ces tracés. Donc en cas de collision avec un skieur débutant, vous serez responsable à priori, comme obstacle mobile)
Puis nous restons dans le thalweg que la piste quitte enfin, et nous remontons directement vers la Tosa del pas dels Lladres, sur la crête frontière. Nous avons alors de très belles vues sur les massifs espagnols baignés de brumes matinales, qui se terminent vers l'est en laissant deviner la méditerranée.
A mesure que nous parcourons cette arête vers le sommet, le vent se lève. Toute cette partie a été facile, mais sous le sommet, les choses se compliquent. La pente se redresse nettement, et se couvre ça et là de plaques de glace, dont le maillage se resserre à l'approche de la fin. Certains sont obligés, près du but, de passer les skis sur le sac et de sortir les crampons. Les plus acrobates (ou les plus flemmards, ou encore les plus casse-toi-la-gueule-en-ski ?) s'en sortent jusqu'à la fin avec les couteaux à glace, au prix de conversions funambulesques, et au risque de tout redescendre avant l'heure prévue.
Pendant ce temps, le vent a encore forci au sommet. Heureusement celui ci offre quelques abris par ses formes plus ou moins accidentées, ce qui nous permet d'éviter la précipitation pour redescendre. On ne peut se tromper, il s'agit bien d'un sommet catalan. La bannière sang et or est de rigueur, et la fréquentation ce jour là est dans une large majorité de langue espagnole (je vous laisse deviner l'ambiance, avec les interpellations couvertes par le vent)
Nous redescendons le versant ouest en tirant un peu vers le petit Puigmal de Segre pour trouver des pentes un peu plus sud, par le froid qu'il fait. La neige, très ventée, est cartonnée et certains tombent dans les chausse-trapes qu'elle tend parfois. Mais tout cela se passe dans la bonne humeur.
Après un parcours seuls dans le thalweg de la Ribera d'Err, nous retrouvons notre piste du matin, maintenant encombrée des skieurs de la station. Cette fois, ils vont dans le même sens que nous, ça réduit les risques de collision. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Parking de la Station de ski d'Err-Puigmal (1832m) Pyrénées Orientales |
les montées : | 1080 m |
les efforts : | 5 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Cerdagne/Capcir
TOP25 2250 ET Mont-Louis |
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Sortie du dimanche 30 mars 1997, 1 journée Pic de Serrere
au départ nous partions pour rire dans de larges couloirs a proximité du col dels meners (col entre le serrere et le pic de la cabanete local). et ce couloir a été parcouru si vite qu'à 11h nous avions déjà fait la descente.
Le serrere nous paraissait assez lointain à l'oeil nu, et nous avions déjà (et d'autre groupes aussi) échoué en tentant d'y parvenir par mauvais temps, mais sur la carte cela semblait raisonnable en tentant un nouvel itinéraire (du moins nouveau pour nous). nous avons donc tenté le coup et à 14h nous pouvions effectivement entamer sa descente. le versant E nous a plus attiré (après tout, nous étions venu chercher de la pente raide, alors autant continuer.
La neige commençait à être un peu lourde, alors nous n'avons pas trainé pour descendre. pour rentrer ensuite, nous avons empruté les couloirs déjà moins raides qui descendent du col dels meners. même s'ils sont moins impressionants, on y retrouve tout de même cette impression d'enfermement spécifique au couloir.
nous c'était en fait un groupe de deux : avec moi il y avait Yannick P. j'apprécie ces sorties intimistes en petit groupe, cela renforce cette impression d'être seul au monde.
(cela est particulièrement difficile à réaliser certains jours où les motoneiges sont de sortie. on les entends alors de loin et elles vous crée une ambiance toute autre tout au long de la journée) |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Extremité (1900m) de la route quittant le village de Ransol vers le nord. Prendre à droite après El Tarter, Andorre |
les montées : | 1400 m |
les efforts : | 6 h 00 |
les cartes : | 1:50000 haute Ariege/Andorre
TOP25 2148 OT Vicdessos |
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Sortie du samedi 08 février 1997, 2 jours pedros et carlit, couloirs O
Un week end orienté vers les couloirs. A force de venir faire des traversées, des sorties débutants et des tentatives de raid dans le coin, il y a des couloirs qui attirent l'œil, même si on en parle peu dans les couloirs de l'UPS. Et on finit par se persuader de venir spécialement pour eux, pas comme ceux qu'on regarde une fois, comme ça au cours d'un raid, mais qu'on ne viendra jamais parcourir.
Ces deux là, quand on va à la Coume d'Or, on ne voit qu'eux. Il y a celui du Pedros devant lequel on débouche en arrivant à la portella de la coma d'en garcie. Cette face du Pedros n'est que couloirs, certes, mais le central semble toujours valoir la peine. Les autres paraissent un peu étroits, et finissent pour la plupart par des passages plutôt rocheux. Et il y a celui du Carlit. Le Carlit! En arrivant au sommet de la Coume d'Or, il occupe quasiment tout le paysage. Son couloir O est sur le parcours de la trace catalane, qui l'emprunte à la montée.
A un moment où l'enneigement nous paraissait favorable, nous sommes donc partis pour le col du puymorens. Arrivés à la portella de la coma d'en garcie, nous laissons la voie normale de la Coume d'Or, pour descendre au pied du Pedros. Tout ce versant est encore à l'ombre, et la neige est cartonnée, irrégulière, soufflée par le vent pour former des barcanes. Plutôt désagréable tout ça.
Au pied du couloir, nous vidons les sacs de tout superflu (matériel de bivouac pour ce soir) que nous laissons dans des sacs poubelle entre quelques rochers. Il ne reste plus qu'à arriver là haut, entre les deux sommets du puig Pédros (le nom varie suivant les cartes).
Nous en profitons bien sûr pour aller sur ses deux pointes sommitales. Celle située au nord est la moins élevée mais la plus facile d'accès (hasard !). L'autre demande quelques précautions et le 'pied sûr' sur un passage raide et plus ou moins englacé.
De retour au couloir pour la descente, la neige est irrégulière, non transformée, rarement agréable. Mais c'est encore le plein hiver, donc pas la saison pour descendre les couloirs. Nous n'avons que ce que nous cherchons. Malgré tout, une fois au pied, nous sommes enthousiastes, (comme toujours quand on se relâche après un moment de concentration).
Mais le week end n'est pas terminé. Il nous faut récupérer nos affaires, et repartir vers le Carlit. La journée est avancée. La neige très humide nous porte peu pour passer la portella roja, dont l'accès est bien raide à notre goût après les efforts déjà fournis. Nous l'atteignons enfin vers 17h. il faut encore descendre vers le lanoux, et le traverser pour chercher une cabane de l'autre coté. Il est suffisamment glacé pour passer dessus ce jour là (ça n'est pas une règle) heureusement car le jour baisse quand nous y arrivons. Le Lanoux traversé en 4° vitesse, nous cherchons la cabane isolée indiquée par la carte. Nous la trouvons à la nuit tombante (ouf). Elle n'a pas de porte mais une tôle ondulée que l'on appuie sur le mur pour tenter de minimiser les courants d'air. L'atmosphère y est humide, et un pilier au centre de l'unique pièce réduit l'espace disponible. Il y a à peine la place pour nous deux. Nous passons une nuit glaciale dans le courant d'air de la porte.
Le lendemain, nouveau lever à 6h pour repartir pour le Carlit. Le doute le plus épais plane. On ne va jamais y arriver, autant rester couchés. Et puis nous partons tout de même, on verra bien jusqu'où nous irons. Au cours de la montée, les doutes reviennent toujours. Le puig Castel Isard nous tente. Il semble tellement moins haut que le Carlit. Et finalement comme d'habitude, on finit par y arriver. Il y a déjà du monde au sommet. Nous jouissons de la vue vers le Canigou ce qui nous donne d'ailleurs la confirmation que c'est bien lui qu'on voit depuis le Montmalus en Andorre, ou depuis la Coume d'Or. Un doute de plus est levé. Nous en profitons aussi pour essayer de voir l'itinéraire de retour au col de Puymorens, car nous voulons évidemment éviter de repasser par le vallon d'en garcie (bonjour les remontées). Vu d'ici, la piste du cortal rousso (que nous ne connaissons que sur la carte) semble enneigée, on tentera le coup.
Le couloir du Carlit est particulier: il n'est pas droit mais décrit un S. au départ on a donc l'impression qu'une chute se terminerait sur ce tremplin donnant on ne sait sur quoi, au lieu de prendre la courbe à droite.
Après le couloir, le reste de la descente est une aimable balade entre les rares pins, jusqu'à la cabane. Après une pause casse croûte et partage d'impressions, nous récupérons nos affaires, et direction la portella de Lanos. Cette dernière montée est interminable. A nouveau nous y arrivons vers 17h. nouvelle balade agréable dans ce vallon de cortal rousso que nous découvrons. La piste qui suit s'avèrera effectivement enneigée jusqu'au col de puymorens: soulagement malgré quelques nécessaires poussées sur les bâtons.
Au total une sortie tout de même assez physique surtout par sa longueur. Sachez avec qui vous partez la faire.
Et si vous cherchez quelqu'un, je vous recommande Gilles... qui a beaucoup progressé depuis. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Col de Puymorens (1904m), Pyrénées Orientales |
les montées : | 1700 m |
les efforts : | 18 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Cerdagne/Capcir
TOP25 2249 OT Bourg-Madame |
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Sortie du dimanche 07 avril 1996, 2 jours traversée Puymorens-Orlu
C’est une sortie plutôt facile et très agréable. Elle est accessible aux débutants qui ont déjà la pratique de la montagne l’été car il y a tout de même un bivouac en cabane peu civilisée pour la nuit. Sinon, les terrains de ski sont assez faciles. L’itinéraire passe par le pic de la Coume d’or qui est un sommet classique pour les débutants à l’AS. La différence est qu’ici nous redescendons du coté de l’étang de Lanoux.
Le retour se faisant par la vallée d’Orlu, il est nécessaire de prévoir une navette en y laissant une voiture au plus haut (point qui depuis a été redescendu de quelques centaines de mètres, occasionnant environ 20mn de marche supplémentaire)
Une fois au pied du versant est de la Coume d’or (qui comporte le passage le plus raide de l’itinéraire) on peut poser les sacs momentanément pour monter au puig Pédros qui offre par ce versant une belle descente très régulière, d’un seul trait. C’est d’ailleurs la façon la plus facile d’aller au Pédros, quoiqu'un peu longue partant du col de puymorens. (La solution la plus courte est de prendre son couloir O, très attirant quand on l’observe depuis la porteille de la coume d’en garcie, et qui a fait depuis l’objet d’une autre sortie).
Redescendus du Pédros, il vous reste à rejoindre la cabane du Sola, située vers le nord est, au bord de L’étang de Lanoux. Au printemps, il vaut mieux éviter de descendre directement vers la rive, car elle est chargée de morceaux de glace dus à la baisse du niveau de l'eau. La progression sera alors rendue difficile si la glace n’est pas assez solide pour passer directement sur le lac. Il faut dans ce cas chercher à rejoindre la cabane en perdant le moins d’altitude possible, et en se débrouillant correctement, on y arrive sans pousser sur les bâtons. En plein hiver, si la glace est épaisse, on pourra choisir de passer à skis sur le lac (ceci peut être dangereux, vous restez responsable de cette évaluation des conditions) pour profiter au mieux de la descente. Seul inconvénient : il faudra peut être recoller les peaux pour progresser sur le lac, sans patiner, jusqu’à la cabane.
Après avoir visité deux sommets, vous pouvez déjà vous accorder un peu de repos. La cabane a été nettoyée récemment, elle peut accueillir facilement cinq à six skieurs. Je ne vous ferais pas l’insulte de vous expliquer qu’il faut vous aussi redescendre vos déchets, je crois que maintenant tout le monde à compris l’utilité collective de cette mesure.
Le lendemain vous avez plusieurs possibilités : soit vous vous levez tôt pour aller au pic Péric et redescendre par la porteille d’Orlu, option nettement plus sportive avec des terrains plus raides à la descente que ceux de la coume d'or, réservée aux bons skieurs, pas aux débutants, soit vous paressez un peu, et vous allez tranquillement au pic de Madides pour admirer l’Esquine d’Ase en face. Itinéraire pour les débutants, c’est aussi la solution de secours dans le cas où le temps serait mauvais.
Dans les deux cas, vous prenez ensuite la vallée d’Orlu. Prenez le temps d’observer car même dans les hauteurs, on croise facilement des isards dans la réserve. Et sur la neige ils sont facilement repérables. |
Cette sortie en résumé :
Point de départ : | Col de Puymorens (1904m), Pyrénées Orientales |
les montées : | 1500 m |
les efforts : | 9 h 00 |
les cartes : | 1:50000 Cerdagne/Capcir
TOP25 2249 OT Bourg-Madame |
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vous trouverez toujours un moniteur pour d'autres sorties, tous les jeudi soir à partir de 19h30 en saison
le local est dans le couloir, sous les amphis Curie et Langevin à l'UPS
Le ski-alpinisme s'adresse à des skieurs ayant une très bonne connaissance du milieu montagnard. A défaut, l'improvisation vous met en danger.La lecture de ces pages ne vous dispense pas d'être encadré par une personne formée et expérimentée, capable de choisir la course convenant au niveau des participants, et d'adapter l'itinéraire sur le terrain pour en éviter les dangers inapparents pour vous ou pour les autres
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ou de surestimation de sa connaissance du milieu de la part de l'utilisateur.
voir le texte de la fédé
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blablabla mais m'évite des poursuites judiciaires pour une erreur de jugement sur place, ou une fôte d'orthogaffe
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randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: D.Monniot
Date: jeudi 26 mars 2009 à 11h52 pouvez- vous me donner des idées de rando à ski , deniv 1000 a1500m à partir d' estany long ; j' y serai 2 jours mi-avril
merci
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d.monniot
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Re: randos à ski à partir du refuge Estany Long |
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Auteur: hervé
Date: vendredi 27 mars 2009 à 17h26
Dans les Encantats donc?
Le pic de Subenulls est un peu le must du coin, mais la fin est raide. Après tu as le pic de Contraix ou le tuc de Colomers, mais pas de sommet skis aux pieds. il faut être à l'aise en grosses dans le mixte. Et puis il y a le tuc de Ratera accessible à skis, mais de ce refuge, ça commence à faire loin...
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: francois
Date: jeudi 19 mars 2009 à 13h59 Bonjour je fais beaucoup d'activité en montagne comme la randonnée ou le ski de rando et un peux d'escalade .
Je m'occupe de l'entretien des refuges et cabanes dans les PO.
Je cherche quelqu'un pour me faire découvrir l'alpinisme.
j'habite dans l'Aude et je vais plutôt dans les PO et
L ARIÈGE .
Je laisse mon MAIL si cela intéresse quelqu'un j'ai 29 ans et je suis en bonne condition physique .
fran********guariguenc@wanadoo.fr
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FRANCOIS
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Auteur: Benjamin
Date: jeudi 12 février 2009 à 09h07 Bonjour,
Je suis dijonnais et je serai à Ax Les Termes la semaine prochaine.
Je voudrais faire découvrir cette activité de ski-alpinisme à qqs copains, si les conditions le permettent bien sur!
Que me conseillerez-vous comme sortie dans les +1000 dans ce coin là? Et y a t-il des spécificités au niveau sécurité dans les Pyrénées?
Merci d'avance
:)
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Auteur: hervé
Date: samedi 21 février 2009 à 01h04
j'étais en vacances la semaine dernière (je passe pas mon temps devant l'ordinateur, c'est juste un outil pour organiser mes propres sorties)
à brule pourpoint il me vient les pics de font nègre à proximité de l'Andorre, le pic de coume d'or, le pic dels pedrons et le pic de la mine.
quand on ne veut pas s'éloigner d'Ax, les sommets sont moins pour débutants.
spécificités ? la neige reste la neige, mais dans les pyrénées elle transforme en général assez vite, sous l'influence des vents d'ouest.
bon séjour
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quand on ne peut rallonger la vie...
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Auteur: herve
Date: dimanche 25 novembre 2007 à 22h35 Comme chaque saison, je propose à ceux qui ont des dispos en semaine d en profiter à la neige (sauvage)
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...il faut la rendre plus intense
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Auteur: hervé
Date: dimanche 05 février 2006 à 20h10 on revient d'une sortie débutants au montségu:
l'itinéraire de la vallée blanche était balisé, damé, et interdit aux randonneurs.
maintenant pour être tranquille il ne reste qu'à y aller en tout début de saison, avant que la station n'ouvre.
sinon neige poudreuse sur les versants nord, belle descente
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quand on ne peut rallonger la vie...
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