total: 9644 m de dénivelée, 6 courses


sorties ski-alpinisme avec l'ASUPS

(anciennes courses)


très bon skieur (+Alpiniste), skieur-alpiniste confirmé


1:50000 Bigorre

arrêter le filtrage

les sorties prévues les idées de courses pratique du raid webcams rechercher index

1 2
Page suivante >>

 
Skieur Moyen Bon Skieur Très bon Skieur (+ Alpiniste parfois)


 
 
Sortie du lundi 20 mai 2002, 1 journée
Grand Tapou

 
La vidéo du tapou

Vidéo
 
 

 
ces images en diaporama
 
 
Le Tapou n'est le plus souvent visité que par ceux qui connaissent déjà le Vignemale. Il en va ainsi dans cette course à toujours vouloir "avoir plus" où les nouveaux pratiquants de la montagne se précipitent vers les sommets connus. Pouvant les présenter dans leur liste de courses, ainsi pensent ils être plus vite reconnus par leurs pairs. Et ensuite ? N'ayant plus de sommets prestigieux à conquérir, passeront-ils rapidement à une autre activité, oubliant ainsi à le Tapou ?
La course présente 150m de moins que celle du Vignemale, mais la dénivelée avoisine néanmoins les 1400m, et le parcours est dans l'ensemble, plus homogène. L'itinéraire n'est pas des plus simples, puisqu'on ne voit pas le sommet en permanence, mais il a au moins l'avantage de faire visiter les lieux avant de toucher au but. Vous avez ainsi du temps pour penser au sens de votre présence dans les montagnes.
L'itinéraire emprunte donc, en voiture, la piste du barrage d'Ossoue. Il faut savoir patienter, car celle ci est réputée pour être facilement encombrée par des avalanches au début du printemps. Mais comme toujours si l'on attend trop, la neige remonte, et vous voilà obligé à une séance de portage avant de chausser les skis.
Après une nuit passée dans les environs de la cabane d'Ossoue, nous attaquons donc directement les pentes au sud-ouest, en direction du pic pointu, pour rejoindre l'itinéraire classique qui démarre plus en aval sur la piste.
Nous sommes partis tôt et il y a encore peu de monde à cette heure matinale. Les thalwegs du massif nous obligent à de multiples détours, voire même à des descentes aux abords des lacs du Montferrat. Puis à partir des lacs, la pente s'accentue à nouveau, et les zones déneigées qui se présentent réduisent notre choix de l'itinéraire à des passages obligés. Au pied du petit pic de Tapou, nous commençons à rencontrer les skieurs partis avant nous, mais qui respirent aussi bruyamment.
Au pied du sommet, nous nous séparons pour 2 options différentes: l'un ira au sommet en passant par le col sud (entre grand Tapou et pic du Milieu) l'autre en utilisant l'arête est du sommet, praticable à skis presque jusqu'en haut. La vue y est très riche, du Néouvielle, au pic du midi d'Ossau, en passant par le mont perdu, les sierras espagnoles, et la pique longue du Vignemale à portée de main (mais pas de skis, puisque l'arête du Tapou au Monferrat est plutôt réservée aux alpinistes, n'imaginez donc pas faire la boucle Tapou Vignemale)
Nous tardons d'ailleurs un peu trop au sommet, à bader ce paysage de sommets connus, évoquant nombre de courses antérieures, si bien que la descente se fera dans une neige tout juste acceptable dans le haut, puis trop humide sur la fin pour laisser des souvenirs impérissables de grand ski.
Mais ce qui compte après tout le plus est le plaisir d'être en montagne, non?

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : le barrage d'Ossoue, extremité de la piste de la vallée d'Ossoue, à l'ouest de Gavarnie, Hautes Pyrénées
les montées : 1400 m
les efforts : 6 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
TOP25 1648 ET Vignemale
TOP25 1748 OT Gavarnie

Du barrage d'Ossoue, partir vers le sud est en direction du pic pointu. Ces pentes sont assez raides, aussi les couteaux, voire les crampons sont utiles si la neige est dure (cas général le matin) Entre 2300 et 2400m on trouve des terrains plus hospitaliers (i.e moins pentus) qui transforment momentanément l'itinéraire en aimable promenade, jusqu'aux environs des lacs du montferrat.
Passés les lacs, la pente se redresse à nouveau et l'on prend vers le nord nord-ouest pour passer la crête qui descend du petit pic de Tapou, pour emprunter le couloir assez large (thalweg) qui se trouve juste derrière, orienté vers l'ouest. Celui ci s'oriente peu à peu vers le nord, pour retrouver un nouveau couloir, orienté lui aussi vers l'ouest, mais descendant lui du col entre Tapou et pic du Milieu. Un peu d'escalade est nécessaire si le rocher est déneigé pour atteindre le sommet du Tapou.
Descente par le même itinéraire.


Vous avez aussi fait cette course ? ajoutez vos commentaires


haut de page

Sortie du dimanche 09 mai 1999, 1 journée
Estaragne

 
491 x 739
au sommet, vers le néouvielle
734 x 486
le pic de la gela et la munia
490 x 731
vers le mont perdu et le cylindre
742 x 489

ces images en diaporama
 
 
Le pic d'estaragne, c'est une course au fond d'un vallon très peu accessible l'hiver, sauf à vouloir faire un raid dans le coin uniquement pour lui. La route des lacs dans le massif du Néouvielle est un accès facile vers ce sommet, mais l'hiver, la vallée qu'elle emprunte est soumise aux avalanches, et est de toute façon assez longue et peu intéressante pour vous convaincre d'aller ailleurs. L'autre accès possible serait par Piau Engaly et le port de campbiel, mais n'ayez pas l'espoir de faire l'aller retour dans la journée. Au printemps par contre, on peut attendre le moment où la neige a fondu suffisamment haut sur la route des lacs pour retrouver l'itinéraire d'été. C'est alors un plaisir de se trouver dans ce massif, en profitant de la douceur de ces journées de fin de saison.
On monte donc la voiture aussi haut que possible vers le virage coté 2072 au départ du vallon d'estaragne. Si la route est déneigée jusque là, vous aurez probablement du portage de skis dans la première partie du vallon, mais elle monte assez peu. Lorsque les pentes se redressent par contre, elles changent aussi d'orientation et sont fréquemment enneigées (sinon, vous avez trop attendu, mais c'est là tout l'exercice d'attendre assez le dégagement de la route, et assez peu pour conserver l'enneigement de votre terrain de jeu). Les pentes de l'itinéraire restent soutenues quasiment jusqu'au sommet, ce qui devrait interdire de proposer cette sortie aux débutants, sauf à vouloir les mettre mal à l'aise (d'un autre coté, à cette saison, on ne croise plus beaucoup de débutants dans les couloirs du club. Ils ont tous tendance à penser que le ski, c'est fini)
Ces pentes sont orientées est, ce qui doit vous encourager à partir tôt, si vous voulez avoir une neige skiable à la descente. Sinon la combinaison neige pourrie et pente forte qui vous attend ne vous laissera pas d'extraordinaires souvenirs.
Au sommet, en dehors du massif de Néouvielle, la vue s'étend sur du pic de la Géla et de la Munia jusqu'aux sommets de Gavarnie. Accessoirement, on domine aussi, vertigineusement, la station de Piau Engaly.

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Le virage au départ du vallon d'Estaragne (2072m) sur la route du lac de Cap de Long, Hautes Pyrénées
les montées : 900 m
les efforts : 4 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
TOP25 1748 ET Neouvielle
1:50000 Aneto Posets

Plutôt une sortie de fin de saison, lorsque la route des lacs du Néouvielle est débarrassée des avalanches qui la coupent jusqu'à la fin du printemps. On monte donc la voiture aussi haut que possible vers le virage coté 2072 au départ du vallon d'Estaragne. A partir du virage, bifurquer vers le sud, dans le vallon, quasiment plat, et aussi déneigé que la route. La neige apparaît peu à peu, par plaques disséminées, puis qui se rapprochent à se souder, à mesure que l'on avance, et l'on peut enfin chausser les skis.
Vers 2200m, les pentes se redressent à mesure que l'itinéraire s'oriente vers l'ouest, et restent soutenues quasiment jusqu'au sommet que l'on aperçoit à partir de 2350m.
Ces pentes sont orientées est, ce qui doit vous encourager à partir tôt, si vous voulez avoir une neige skiable à la descente. Sinon la combinaison neige pourrie et pente forte qui vous attend ne vous laissera pas d'extraordinaires souvenirs, sans parler des avalanches de fond, qui n'attendent qu'une occasion de vous désosser.
Au sommet, en dehors du massif de Néouvielle, la vue s'étend sur du pic de la Géla et de la Munia jusqu'aux sommets de Gavarnie. Accessoirement, on domine aussi, vertigineusement, la station de Piau Engaly.
Descente par le même itinéraire.


Vous avez aussi fait cette course ? ajoutez vos commentaires


haut de page

Sortie du samedi 14 mars 1998, 2 jours
Taillon

 
vu des aiguillous en attaquant la montée vers le col des sarradets
taillon et gabiétou vus du pic des aiguillous (soum des salettes)
724 x 476

Le Taillon, c'est un sommet presque facile. Facile parce que l'on peut atteindre le sommet skis aux pieds. Presque parce qu'avant d'en arriver là, il faut être passé par l'arête neigeuse que suit la frontière franco-espagnole, qui demande tout de même des qualités certaines d'équilibriste si on veut rester sur ses skis. Et les pentes sont raides des deux cotés. A pieds c'est bien sur plus facile, mais on s'enfonce plus.
Pour le départ, 2 solutions s'offrent à vous : soit la neige est basse, vous êtes courageux et vous partez de Gavarnie. Le sentier démarre derrière l'église, au bord du cimetière, et grimpe vers les balcons de Bellevue et la cabane du soldat.
Avant la cabane, vous montez vers la gauche, au sud vers le col des Sarradets. A ne faire qu'en conditions sures car l'avalanche qui emprunte ce trajet mais dans l'autre sens, est une des plus grosses des pyrénées.
Soit la neige est plus haute, ou alors vous êtes plus flemmard, et vous passez par la station de ski des Espécières (qui propose un forfait randonneur) En 2 coups de télésiège, vous voila au col des tentes, bien connu des amateurs estivaux du Taillon. Il faut alors rejoindre le port de Boucharo par une première traversée, puis traverser aussi sous les faces N des Gabiétous et du Taillon (expo aussi aux avalanches de purges après une chute de neige) Il vous reste ensuite à rejoindre là aussi le col des Sarradets.
Attention à nouveau, entre le col des Sarradets et le refuge du même nom, se trouve très souvent une très grosse plaque à vent.
Après une éventuelle pause au refuge, rejoignez la brèche (là vous êtes seul maître de votre destin, à vous de voir comment vous allez faire pour survivre) Passé la brèche, on prend à droite (vers l'ouest), en restant à distance des murailles surplombantes du pic Bazillac à cause du risque de chutes de pierres, et en direction du doigt de la fausse brèche. celui ci se passe mieux à skis sur son versant nord (alors que l'été c'est l'inverse) et c'est là que votre numéro d'équilibre va commencer.
Il se poursuivra jusqu'aux environs du Taillon. Lorsque vous décidez de lâcher cette crête pour attaquer le Taillon lui-même par son versant sud, gardez encore à l'esprit que l'itinéraire se termine au-dessus d'une barre rocheuse qui coupe tout le versant. attention donc si la neige est dure, chute interdite (alors qu'avant il faut voir)

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : L'église de Gavarnie (1365m) ou la station de ski des Espécières (1856m), Hautes Pyrénées
les montées : 1000 m
les efforts : 7 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
TOP25 1748 OT Gavarnie

A partir de Gavarnie, passer à l'église (1380m) et continuer vers le sud en prenant le sentier du plateau de bellevue (1700m)
Continuer vers la cabane du soldat, jusqu'à la bifurcation des sentiers d'été (1873m)
Profiter de la rupture de continuité des murailles rocheuses au sud pour monter vers le glacier du Taillon (longue pente à n'entreprendre que par conditions de neige sures)
A partir du col des Tentes (2208m) traverser vers le sud-ouest vers le port de Boucharo, avant de repartir vers l'ouest sous les faces nord des Gabiétous et du Taillon.
Sous le glacier du Taillon, ou l'on retrouve l'itinéraire venant de Gavarnie, monter vers le col des Sarradets (2589m, grosse plaque à vent fréquente)
On passe au refuge des Sarradets, avant de monter à la brèche de Roland (2807m)
Prendre ensuite à droite (vers l'ouest) sous les murailles du pic Bazillac, en s'en tenant à distance pour éviter d'éventuelles chutes de glace ou de pierres.
A skis, le doigt de la fausse brèche se passe plutot versant nord, mais à vous de voir. On continue ensuite sur la crête frontière.
Pour finir vers le sommet du Taillon (3144m) n'hésitez pas à mettre les crampons suffisamment tot si la neige est dure, à causes des barres rocheuses situées sous le sommet.
Descente: prendre plutot vers le sud (cote 3051m), et faire le tour de ce petit cirque sud du Taillon, quitte à remonter un peu pour retrouver la brèche et le versant francais.
Suite du retour par le même itinéraire qu'à la montée.


Vous avez aussi fait cette course ? ajoutez vos commentaires


haut de page

Sortie du mardi 15 avril 1997, 4 jours
tour du cirque de Gavarnie

 
la dernière descente (Yannick C. et son gros sac)(vidéo .avi 1,44Mo)

Vidéo
 
 

 
ces images en diaporama
 
 
Cette année là (ou du moins cette semaine là, car il a neigé la semaine suivante) il avait fallu chercher la neige assez haut. Pour éviter les traversées de vallées déneigées, nous nous sommes décidés pour le tour du cirque de gavarnie.
Cela commence par la montée au plateau de pailla, skis sur le sac, et nous n'avons trouvé la neige qu'après le refuge des espuguettes. La montée jusqu'à la hourquette d'Alanz était en neige pourrie (comme tous les ans à cette époque à ce qu'il semble, vous êtes prévenus) Nous sommes arrivés à la hourquette en fin d'après midi. Comme la journée était bien avancée, nous avons bivouaqué dans le cirque d'Estaubé, face au lac des Gloriettes, à mi-chemin entre la hourquette et le couloir de Tuquerouye.
Le lendemain, petite journée. La montée du couloir de Tuquerouye nous a fait arriver à la brèche du même nom vers 14h. il était donc bien tard pour entamer la montée vers le col du cylindre. Ce fut une après midi de sieste au refuge de Tuquerouye, alors non rénové. Il n'y avait qu'une salle d'utilisable, dont le plafond laissait d'ailleurs passer un filet d'eau au goutte à goutte (bien choisir sa place pour la nuit) Il semble que les choses soient bien améliorées depuis.
Levés à 5h00, non sortons du refuge vers 6h30 alors qu'il fait encore nuit. La descente coté sud de la brèche, très caillouteuse, est donc prudente avec les sacs encore si chargés. A mi-hauteur de cette descente, nous pouvons chausser les skis, mais la neige durcie par la nuit est carrément désagréable à skier, avec des pénitents formés par la fonte, qui empêchent de placer ses virages où l'on veut.
En face, pour la remontée vers le col du cylindre, la neige exposée déjà au soleil, s'attendrit rapidement permettant de remettre les peaux sous les skis après une montée entamée à pieds.
Arrivés au col du cylindre nous croisons des français qui passent dans l'autre sens. Ils nous donnent une météo récente : il semble qu'une perturbation soit prévue pour le lendemain soir, avec des chutes de neige. Entre un bivouac forcé dans la tempête sur les hauteurs du cirque (façon chasseurs alpins, les trois randonneurs de la Vanoise n'ayant pas encore fait la une à cette époque) ou la trace directe vers le refuge des Sarradets en oubliant tous projets de sommets du cirque, la majorité du groupe, (deux voix contre une) se prononce pour la seconde option. Nous avons devant nous une longue journée sur les vires sud du cirque de Gavarnie, qui nous amène vers 20h30 au refuge (l'hiver on y entre par une fenêtre équipée a l'extérieur d'une échelle)
Nous sommes seuls. impressions encore une fois, de bout du monde.
Lever tardif, vers 9h00. Il nous reste la seule descente qui sera réellement agréable à faire, sur une neige transformée, jusqu'à la cabane du soldat (attention à tenir l'azimut pendant la descente, sinon on arrive très facilement au-dessus de barres rocheuses d'une quarantaine de mètres de haut, et le bon passage n'est pas si large)
le reste n'est plus qu'une descente à pieds par le plateau de Bellevue, bien connu des touristes baladeurs l'été.
(la fameuse perturbation n'était toujours pas là, mais il était vrai qu'il a beaucoup neigé par la suite, car un autre groupe de la fac a suivi ce parcours dans l'autre sens la semaine suivante et a trouvé beaucoup de neige récente)

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Le village de Gavarnie (1365m), Hautes Pyrénées
les montées : 2400 m
les efforts : 21 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
Editorial Alpina:Ordesa
TOP25 1748 OT Gavarnie


Vous avez aussi fait cette course ? ajoutez vos commentaires


haut de page

Sortie du dimanche 21 avril 1996, 4 jours
Vignemale - Ardiden

 
la descente de culaus vers le refuge russell (.avi 0,4 Mo)

Vidéo
 
 

 
ces images en diaporama
 
 

 

Cette sortie en résumé :
Point de départ : Le parking du pont d'Espagne (1496m) en suivant le télésiège, Hautes Pyrénées
les montées : 3100 m
les efforts : 28 h 00
les cartes :1:50000 Bigorre
TOP25 1648 ET Vignemale

L'itinéraire proposé nécessite une navette de voitures d'environ 1h30 entre le pont d'Espagne, et la piste menant aux lacs d'Ardiden. Embranchement vers le thalweg de Bernazau à 1170m sur la route de Luz-St-Sauveur à Luz-Ardiden.
Du pont d'Espagne, monter vers le lac de Gaube, puis aller vers le refuge des Oulettes ou de préférence pour le lendemain, au refuge de Baysselance.
Le lendemain, longue journée, monter au Vignemale, puis revenir vers l'est pour la descente. Redescendre jusque vers 2300m pour traverser le barranco d'Ossoue, et reprendre la montée, toujours vers l'est, vers le col des gentianes. Passé le col, descendre vers le lac glacé, puis le lac Couy, et bifurquer à droite (est) peu avant le lac Couy pour remonter à nouveau vers le col de Malh Arrouy. La dernière descente de la journée vous mène alors à la cabane de Cestrède (4 places, cheminée)
Continuer à flanc vers l'est pour contourner la crête de hèche, et aller chercher le ravin du lac noir, que l'on remonte jusqu'au col de Culaus. Descendre jusqu'au refuge Russel (une douzaine de places, cheminée, bois à proximité)
Du refuge Russel, repartir en direction du col de Culaus, mais obliquer à gauche vers 2100m sur des terrains assez raides, pour atteindre le pourteau des Agudes, brèche située sur l'arrête qui descend de l'Ardiden.
Passer cette brèche pour rejoindre l'arrête par son versant nord-ouest plus facile, puis la suivre jusqu'au sommet de l'Ardiden, ce qui n'est pas des plus agréable avec les skis sur le sac.
Du sommet, suivre maintenant l'arrête nord, vers les lacs d'Ardiden, rechausser les skis dès que le terrain s'y prête, et terminer la descente vers la voiture que vous avez laissée.


Vous avez aussi fait cette course ? ajoutez vos commentaires


haut de page

1 2
Page suivante >>

les sorties prévues les idées de courses pratique du raid webcams rechercher index

 
 

vous trouverez toujours un moniteur pour d'autres sorties, tous les jeudi soir à partir de 19h30 en saison
 le local est dans le couloir, sous les amphis Curie et Langevin à l'UPS

  ski de rando : le site de l'ASUPS 

Le ski-alpinisme s'adresse à des skieurs ayant une très bonne connaissance du milieu montagnard.
A défaut, l'improvisation vous met en danger.

La lecture de ces pages ne vous dispense pas d'être encadré par une personne formée et expérimentée, capable de choisir la course convenant au niveau des participants, et d'adapter l'itinéraire sur le terrain pour en éviter les dangers inapparents pour vous ou pour les autres
Les informations sont livrées en l'état, sans garantie déclarée ni implicite.
Bien que tous les efforts aient été déployés pour s'assurer de la validité des informations contenues dans ces pages, l'auteur ne pourra être tenu pour responsable d'erreurs, ou d'omissions, ni d'éventuels dommages résultant de leur utilisation, ou de surestimation de sa connaissance du milieu de la part de l'utilisateur.
voir le texte de la fédé

:-(

blablabla mais m'évite des poursuites judiciaires pour une erreur de jugement sur place, ou une fôte d'orthogaffe ou de syntaxe mal interprétée ;o)

fermer le forum

Agrandir le chat .
Messages privés ci dessus
Messages publics en dessous

le coin ski-alpinisme

Chercher dans les messages
Poster un nouveau message réactualiser


Pages de messages :
  0 1 Page suivante >>

randos à ski à partir du refuge Estany Long
Répondre
Auteur: D.Monniot
Date: jeudi 26 mars 2009 à 11h52
pouvez- vous me donner des idées de rando à ski , deniv 1000 a1500m à partir d' estany long ; j' y serai 2 jours mi-avril
merci
--
d.monniot


Re: randos à ski à partir du refuge Estany Long
Répondre
Auteur: hervé
Date: vendredi 27 mars 2009 à 17h26

Dans les Encantats donc?
Le pic de Subenulls est un peu le must du coin, mais la fin est raide. Après tu as le pic de Contraix ou le tuc de Colomers, mais pas de sommet skis aux pieds. il faut être à l'aise en grosses dans le mixte. Et puis il y a le tuc de Ratera accessible à skis, mais de ce refuge, ça commence à faire loin...
--
quand on ne peut rallonger la vie...


recherche partenaire
Répondre
Auteur: francois
Date: jeudi 19 mars 2009 à 13h59
Bonjour je fais beaucoup d'activité en montagne comme la randonnée ou le ski de rando et un peux d'escalade .

Je m'occupe de l'entretien des refuges et cabanes dans les PO.

Je cherche quelqu'un pour me faire découvrir l'alpinisme.
j'habite dans l'Aude et je vais plutôt dans les PO et
L ARIÈGE .

Je laisse mon MAIL si cela intéresse quelqu'un j'ai 29 ans et je suis en bonne condition physique .

fran********guariguenc@wanadoo.fr
--
FRANCOIS


Découverte Pyrénées
Répondre
Auteur: Benjamin
Date: jeudi 12 février 2009 à 09h07
Bonjour,

Je suis dijonnais et je serai à Ax Les Termes la semaine prochaine.

Je voudrais faire découvrir cette activité de ski-alpinisme à qqs copains, si les conditions le permettent bien sur!
Que me conseillerez-vous comme sortie dans les +1000 dans ce coin là? Et y a t-il des spécificités au niveau sécurité dans les Pyrénées?


Merci d'avance
:)


Re: Découverte Pyrénées
Répondre
Auteur: hervé
Date: samedi 21 février 2009 à 01h04

j'étais en vacances la semaine dernière (je passe pas mon temps devant l'ordinateur, c'est juste un outil pour organiser mes propres sorties)
à brule pourpoint il me vient les pics de font nègre à proximité de l'Andorre, le pic de coume d'or, le pic dels pedrons et le pic de la mine.
quand on ne veut pas s'éloigner d'Ax, les sommets sont moins pour débutants.
spécificités ? la neige reste la neige, mais dans les pyrénées elle transforme en général assez vite, sous l'influence des vents d'ouest.
bon séjour
--
quand on ne peut rallonger la vie...


sorties en semaine
Répondre
Auteur: herve
Date: dimanche 25 novembre 2007 à 22h35
Comme chaque saison, je propose à ceux qui ont des dispos en semaine d en profiter à la neige (sauvage)
--
...il faut la rendre plus intense


montségu, vallée blanche
Répondre
Auteur: hervé
Date: dimanche 05 février 2006 à 20h10
on revient d'une sortie débutants au montségu:
l'itinéraire de la vallée blanche était balisé, damé, et interdit aux randonneurs.
maintenant pour être tranquille il ne reste qu'à y aller en tout début de saison, avant que la station n'ouvre.
sinon neige poudreuse sur les versants nord, belle descente
--
quand on ne peut rallonger la vie...


Pages de messages :
  0 1 Page suivante >>

La page des conversations